mercredi 19 janvier 2011

Facebook suspend temporairement la collecte de données personnelles

Pour faire taire les critiques, Facebook rend indisponible pour quelques semaines la fonctionnalité permettant aux développeurs d’applications de collecter l’adresse et le numéro mobile des membres.
Nouveau revers pour Facebook concernant sa gestion de la vie privée de ses utilisateurs. Le réseau social a annoncé suspendre temporairement l’autorisation donnée il y a quelques jours aux développeurs d’applications tierces pour récupérer les adresses et numéros de téléphones mobiles des membres.
En effet, en début de semaine, Facebook avait permis aux développeurs d’applications utilisant l’API Graph Social de récupérer, lors de l’installation de cette application par un utilisateur, deux informations personnelles : son adresse postale ainsi que son numéro mobile, en lui demandant son autorisation, via l’apparition d’une petite fenêtre de dialogue.
Comme c’était prévisible, cette nouvelle possibilité de collecte de données privées a déclenché bon nombre de mécontentements. Face à ces critiques, Facebook fait donc machine arrière en expliquant suspendre pendant quelques semaines ce nouvel outil à destination des développeurs.
Pendant ce laps de temps, le réseau social compte discuter avec ses utilisateurs et promet de perfectionner la fenêtre de dialogue permettant de valider, ou non, l’autorisation permettant de récupérer l’adresse et le numéro de mobile.
Voilà qui devrait (un peu) rassurer les 600 millions de membre de Facebook… Rappelons que Sophos soulignait il y a quelques jours que ce service pouvait générer des problèmes de sécurité.
L’éditeur expliquait ainsi que de nouvelles applications malveillantes spécialement créées pouvaient alors voler les données privées incriminées…


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L’HTML5 s’offre un logo officiel

L’identité visuelle de la technologie HTML5 est maintenant connue. Elle est assez représentative de la rupture que va provoquer ce nouveau standard. Mais n’arrive-t-elle pas un peu tôt ?

Le W3C (World Wide Web Consortium) se lance aujourd’hui dans une véritable opération séduction à destination des internautes et des développeurs web. Objectif, mettre en valeur l’HTML5, avec un logo et une signalétique qui respirent la modernité. Rappelons que le HTML est le langage de description des pages web. Et que cette nouvelle évolution implique de nombreuses nouveautés, dont le support natif des fichiers audiovisuels qui permet au navigateur de lire du contenu indépendamment d’un lecteur dédié à installer sous forme de greffon (le plus utilisé étant désormais le Flash d’Adobe).
Le tout est présenté sur cette page web. Elle donne au W3C l’occasion de mettre en avant les qualités de ce futur standard : plus grande richesse des tags, présence des CSS3, gestion des microformats, stockage local des données, géolocalisation, connectivité réseau avancée, intégration de fonctions multimédias, support de la 3D, des canevas et des graphismes vectoriels…
Plusieurs liens pointent vers des sites externes permettant d’en savoir plus sur cette technologie et d’afficher diverses pages de démonstration. Il sera même possible de se créer un logo HTML5 personnalisé et de commander divers goodies.
Le W3C espère que cette nouvelle identité visuelle permettra de mieux cerner la très complexe certification HTML5. Problème, les petits pictogrammes qui accompagnent le logo principal sont assez difficiles à comprendre. Quelques personnes n’ont pas manqué également de remarquer que ce logo était quelque peu flashy… un comble pour une technologie que certains voient déjà comme un remplaçant du greffon Flash.
Enfin, n’aurait-il pas fallu finaliser cette spécification avant de la mettre aussi ouvertement en avant ?


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Microsoft s’attaque de front à Salesforce.com

L’éditeur privilégie le cloud pour le lancement mondial de son nouveau CRM. Sa tarification agressive vise à reconquérir les PME.
Après s’être affronté à Salesforce.com dans le domaine du Paas (Platform as a Service) avec Windows Azure, Microsoft porte son offensive directement sur le champ du Saas(Software as a Service). Pour la première fois, c’est d’abord sur le cloud que l’éditeur propose la nouvelle version de sa solution CRM. Ainsi, l’offre Dynamics CRM Online a officiellement été lancée par Steve Ballmer le 17 janvier, alors que son équivalent sur site – Dynamics CRM 2011 – n’est prévu que pour le 28 février.
Autre nouveauté, la version Saas de Dynamics CRM 2011 est fonctionnellement identique celle sur site et bénéficie d’un lancement mondial sur 40 marchés et en 41 langues. Or, jusqu’à présent, Dynamics CRM Online ne constituait qu’une version peu personnalisable de Dynamics CRM 4 en mode Saas, réservée à l’Amérique du Nord.

Des tarifs attractifs pour les utilisateurs…

Jusqu’au 30 juin 2011, Dynamics CRM Online sera proposé au prix promotionnel de 31 euros par utilisateur et par mois pour les douze premiers mois de service. Après cette période, l’abonnement sera de 40,25 euros. Par ailleurs Microsoft offre la possibilité d’essayer gratuitement le service pendant trente jours.
Dynamics CRM Online est accessible depuis Outlook
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…et les partenaires de distribution

L’éditeur se montre également incitatif avec son réseau de distributeurs, à qui il réserve 40 % de commission sur les montants facturés pendant un an pour tout contrat signé avant le 30 juin. Après cette période, il reversera 18 à 25 %, selon le niveau de certification des partenaires. Et dans tous les cas, les partenaires bénéficieront de 5 % des annuités reçues par Microsoft à l’issue de la première année de service.
Ciblant toutes tailles d’entreprises, Dynamics CRM Online a toutefois été conçue pour reconquérir les PME un temps dissuadées par l’évolution tarifaire de Dynamics CRM 4. C’est particulièrement le cas en France, où l’éditeur ne compte que 460 clients CRM sur 23 000 dans le monde. Les premières expériences d’intégration montrent des livraisons de premier lot réalisées en six semaines pour les PME (contre trois mois pour des grands comptes).

Les avantages de CRM Online

Dynamics CRM Online bénéficie de tableaux de bord personnalisables
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Outre sa tarification agressive et « sans mauvaise surprise », Microsoft pourra aussi faire valoir les interfaces familières d’Office, une forte personnalisation (workflows préparamétrés, tableaux de bord sur mesure…), le choix réversible des modes de consommation – online, mais aussi hébergé par un partenaire ou sur site –, une place de marché de solutions complémentaires et une connexion auxréseaux sociaux.
Autre particularité, les utilisateurs souhaitant utiliser Outlook comme interface bénéficient d’un mode d’utilisation déconnecté. Dynamics CRM Online peut également être utilisé depuis Lotus Notes ou avec sa propre interface web, depuis Internet Explorer 7, 8 ou 9.

Une configuration et une personnalisation facilitées

Enfin, l’offre Saas CRM de Microsoft bénéficie de l'interopérabilité avec Microsoft Online Services et Windows Azure, qui permettent une extension des applications métier, notamment un système de connexion entre les offres Microsoft Dynamics CRM et ERP (Azure Services Platform Service Bus), et des fonctionnalités Microsoft Sharepoint contextuelles. De quoi faciliter la configuration et la personnalisation de Microsoft Dynamics CRM afin de l'adapter à des besoins métier spécifiques.
Source : http://pro.01net.com


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Microsoft : nouvelle page d'accueil style Metro

Le site de Microsoft accueille les visiteurs avec une nouvelle page reprenant le style de l'interface utilisateur de Windows Phone 7.

Microsoft-nouvelle-homepage-particulierPetite surprise pour les visiteurs du très fréquenté site officiel de Microsoft. Ce dernier arbore une nouvelle page d'accueil qui a été remise au goût du jour en adoptant un style proche de celui que l'on retrouve avec Windows Phone 7. Il y a en effet comme un air de Metro dans cette homepage, l'interface utilisateur de WP7.

Deux espaces sont proposés, un pour les particuliers et un autre pour les professionnels. Un passage du bleu à l'orange et une adaptation de la gamme de produits et services proposés en fonction du public ciblé. Ce passage s'effectue par glissement d'une page à une autre et non via le chargement de l'intégralité de la page.

Microsoft-nouvelle-homepage-entrepriseLa présentation s'articule autour de plusieurs hubs ( actions souhaitées, aide, actualité... ), mais l'utilisateur peut toujours retrouver ses anciens réflexes grâce aux onglets de navigation qui ont été conservés sous le champ de recherche Bing.

Cette nouvelle page d'accueil ne bouleversera pas les habitudes des visiteurs. Il s'agit pour le moment d'une prévisualisation et Microsoft attend des retours sur l'expérience de navigation ressentie. L'utilisateur est ainsi convié à dire ce qu'il aime ou pas : design, information structurée, chargement rapide... On remarquera en tout cas l'éviction de la technologie Silverlight !



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WebOS : premier aperçu officieux de tablettes HP Palm

HP / Palm devrait présenter sa stratégie mobile autour de WebOS début février mais Engadget propose déjà des images des premières tablettes.

HP Palm logoPeu visible en mobilité au salon CES 2011, le groupe HP réserve ses annonces pour un événement début février, en amont du salon MWC 2011 de Barcelone et qui lui permettra de profiter d'une totale visibilité.

Cela devrait être l'occasion de dévoiler les premiers smartphones et tablettes WebOS ( et peut-être des netbooks ) depuis que le groupe a racheté le fabricant Palm en 2010.  Et si HP est resté discret sur les projets, le site Engadget publie des images des premières tablettes sous WebOS, baptisées Topaz ( écran 7" ) et Opal ( écran 9" ).
HP Topaz WebOS
Elles seront annoncées lors de l'événement le 9 février prochain et se distingue par une façade sans boutons mais présentant une webcam, un port micro USB et des haut-parleurs. Les deux tablettes disposeraient d'un processeur 1,2 GHz et supporteront les connectivités sans fil WiFi, Bluetooth et un modem cellulaire 3G voire LTE.

Si ces produits seront annoncés en février, leur disponibilité ne serait pas effective avant le mois de septembre 2011 aux Etats-Unis, à commencer par la tablette Topaz, l'autre modèle arrivant plus tard. Les prix de ces deux appareils ne sont pas encore connus.
Source : www.generation-nt.com


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mardi 18 janvier 2011

Nokia Ovi Music Unlimited bientôt fermé

Les estimations des analystes étaient proches de la réalité, Nokia ferme en partie son service Ovi Music Unlimited. Seuls 5 pays émergents continueront à le proposer.


Nokia vient d’annoncer qu’il s’apprêtait à mettre fin à son service Ovi Music Unlimited, baptisé Comes with Music à son lancement. Du moins le constructeur prévoit de le fermer dans 27 pays, excepté en Chine, en Indonésie, au Brésil, en Turquie, en Afrique du Sud. Lancé en 2008, il visait à concurrencer iTunes d’Apple mais s’est avéré un véritable échec. Pourtant le concept se voulait innovateur. En effet, Nokia proposait le téléchargement de musiques à volonté sur son portail musical lors de l’achat d’un smartphone. Pourquoi Ovi Music Unlimited n’a donc pas réussi à se développer dans les pays occidentaux ?



Plusieurs erreurs sont à l’origine de cet échec. D’une part, si la firme à la pomme a rapidement créé un service complet pour sa plateforme mobile, Nokia ne peut en dire autant. Il a mis un certain temps avant de lancer son propre marché d’applications. D’autre part, et c’est sûrement là la plus mauvaise stratégie du groupe pour cette activité, Nokia a très longtemps conservé les DRM des fichiers multimédia alors que le marché commençait progressivement à ne plus le faire. Finalement, si Nokia a pu assoir sa réputation en matière de fabrication de terminaux mobiles, le groupe a beaucoup plus de mal à s’imposer à la fois sur le segment des smartphones et sur le marché des services mobiles, surtout face à Google et Apple qui proposent une offre relativement complète à leurs mobinautes.


Notons que Nokia a révélé travailler actuellement sur de nouveaux projets musicaux, et ne veut pas s’avouer vaincu, même s’il faudra offrir un service vraiment différencié pour attirer de nouveaux clients.

Source : /www.linformaticien.com


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De nouvelles puces au coeur des prochains iPhone et iPad


Selon les dernières rumeurs, la nouvelle génération d'iPhone et d'iPad embarquerait de nouvelles puces Qualcomm et un processeur A5. Pour une sortie plus tardive ?

Selon les dernières rumeurs, la nouvelle génération d'iPhone et d'iPad embarquerait de nouvelles puces Qualcomm et un processeur A5. Pour une sortie plus tardive ?
De la vidéo en Full HD 1080p, des performances multipliées par deux et un passage vers la HDMI ? D'après Engadget, qui s'appuie sur une source anonyme mais « fiable », c'est bien ce que l'iPad 2 et l?iPhone 5 proposeraient au public grâce à un tout nouveau processeur.



Nommé A5, cette évolution logique de l'A4 actuel serait composée de plusieurs curs qui lui permettraient, selon Apple Insider, d'offrir une puissance deux fois supérieure pour une fréquence équivalente. En équipant les futurs modèles d'iPad, d'iPhone ou d'Apple TV, ce processeur permettrait par exemple de gérer la technologie Retina sur l'écran de l'iPad 2 ou encore le format vidéo 1080p sur tous les produits équipés d'iOS, y compris l'Apple TV.

                   apple-processeur-a5
 
En outre, Apple aurait décidé d'abandonner, pour sa connectivité réseau, les puces Infineon en se tournant vers Qualcomm. L'avantage ? La firme de Steve Jobs n'aurait plus à produire différents modèles adaptés aux différentes normes téléphoniques (GSM/CDMA) puisque ces nouvelles puces supporteraient l'ensemble des technologies.
Toujours selon Engadget, l'iPad 2 ne devrait pas posséder de prise USB mais une ouverture pour carte SD. Quant à la date de sortie de l'appareil, annoncée rapidement, elle pourrait finalement avoir lieu en avril, soit exactement dans le cycle de 12 mois cher à Apple.

Source : http://hightech.nouvelobs.com


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Partage de données privées : face aux critiques, Facebook fait marche arrière

Après avoir annoncé ce week-end étendre l'accès aux données personnelles de ses utilisateurs pour les développeurs travaillant avec l'API Social Graph, Facebook vient de faire marche arrière en mettant les nouveaux accès « en attente ».
Confidentialité Facebook

 
Hier, nous vous annoncions que Facebook proposait désormais aux développeurs d'applications tierces l'accès à l'adresse postale et au numéro de téléphone mobile de ses membres ayant renseigné ces champs dans leur profil. Même si l'accès à ces informations nécessitait une validation de la part de l'utilisateur de l'application, les questions concernant la protection de la vie privée et la dimension intrusive des applications avaient de quoi effrayer.
C'est visiblement ce qui est arrivé puisque le réseau social a dû faire face à une vague de protestation conséquente, qui l'a poussé à revenir aujourd'hui sur ses décisions en mettant « en attente » le partage de ces nouvelles données. Néanmoins, sur son blog, Facebook explique que le partage de ces données n'est pas abandonné, mais fera par contre l'objet d'une optimisation pour rendre plus visible les informations partagées par l'utilisateur lorsque ce dernier valide une application. « Au cours du week-end, nous avons convenu que nous pourrions informer plus efficacement les gens au moment où ils donnent un accès à leurs données. Nous apportons des modifications pour faire en sorte que vous ne partagiez que les informations que vous désirez partager » explique le site.
Le partage du numéro de téléphone et de l'adresse postale n'est donc plus d'actualité à l'heure actuelle, mais ce n'est qu'une question de temps avant que Facebook ne réintègre ces fonctions au sein de l'API Social Graph, a priori en même temps qu'une boite de validation des applications plus claire.
 
Source : www.clubic.com
 

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APPLE - L'arrêt maladie de Steve Jobs

L'histoire se répète avec des similitudes troublantes. Steve Jobs a fait savoir lundi par un e-mail adressé à ses employés qu'il quittait temporairement la direction de l'entreprise, confiée à Tim Cook. Deux ans et deux jours après son premier départ, il utilise exactement le même procédé, avec le même suppléant, pour une raison probablement similaire. Il ne s'en cache plus et ne se donne plus la peine de faire des mystères. Steve Jobs entend se "concentrer" sur sa santé, fragile depuis un cancer du pancréas qui s'était soldé par une greffe. Cette opération lourde s'était déroulée dans le plus grand secret et l'avait tenu éloigné des commandes de l'entreprise pendant plusieurs mois. Cette mise au vert forcée devrait être tout aussi temporaire. Steve Jobs écrit : "Je reste P-DG et impliqué dans les décisions stratégiques les plus importantes pour l'entreprise." Il n'est pas certain que cette déclaration suffira à calmer les appréhensions des marchés.

Pourtant, l'annonce de ce départ ne semble pas précipitée. Au contraire, elle semble même choisie de manière à ne pas nuire à l'entreprise. Le 17 janvier est un jour férié aux États-Unis, il n'y aura donc pas de cotation de l'action Apple Wall Street, une des valeurs les plus prisées du secteur. La moindre variation de l'action ne pourra pas déchaîner les spéculations sur l'indispensable présence de M. Jobs à la tête de l'entreprise. En Europe, en revanche, ce lundi n'est pas férié : -7,8 % à la Bourse de Berlin, -8,8 % à la Bourse de Francfort, la dernière fois, le titre avait plongé de plus 10 % avant de remonter.


La communauté macophile est en émoi. Le P-DG considéré comme l'un des plus charismatiques de sa génération fait l'objet d'un véritable culte dans le monde entier. La moindre déclaration ou apparition publique est soigneusement organisée. L'homme est considéré comme un visionnaire, un gourou du high-tech. Il a en effet su réunir les conditions pour démocratiser la musique numérique grâce à l'iPod, bouleverser le marché de la téléphonie grâce à l'iPhone, attaquer le marché de l'informatique nomade avec l'iPad. Sur Twitter, les internautes n'adressent qu'un conseil au patron d'Apple : manger une pomme par jour.


Source : www.lepoint.fr


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jeudi 13 janvier 2011

Firefox 4 devrait sortir en février

La nouvelle version du navigateur de Mozilla est en retard de plusieurs mois dans son développement. Néanmoins Firefox 4 devrait être proposé en version Release Candidate début février avant une sortie en version finale avant la fin de ce mois.

La nouvelle version du navigateur de Mozilla est en retard de plusieurs mois dans son développement. Néanmoins Firefox 4 devrait être proposé en version Release Candidate début février avant une sortie en version finale avant la fin de ce mois.
Initialement prévue pour novembre 2011, puis repoussée jusqu'à « début 2011 », la version 4 du navigateur Firefox devrait enfin arriver d'ici la fin du mois de février 2011. C'est en tout cas ce qu'annonce Damon Sicore, directeur de l'ingénierie plateforme chez Mozilla, dans un message sur le forum des développeurs du logiciel : « nous avons travaillé terriblement dur sur Firefox 4 et il est temps de le livrer ».

M. Sicore explique ensuite qu'une version RC devrait être lancée « le plus tôt possible, idéalement au début du mois de février », avant la version finale « avant la fin du mois de février ». Mais il explique aussi qu'auparavant, un nouvelle bêta fera son apparition, voire une autre si le nombre de bugs relevés reste trop élevé. D'ailleurs, il demande aux testeurs de ne pas désactiver les plugins comme Flash et Silverlight et de vérifier, sous Windows, s'ils ne font pas l'objet de plantages ou autres problèmes à cause de l'accélération matérielle.

Cette fonction est arrivée sur la bêta 7 de Firefox 4, celle qui intégrait le plus grand nombre de nouveautés avec également le support des polices OpenType, du SVG et du WebM, ainsi que des derniers standards CSS3 et HTML5. Est arrivée ensuite fin décembre la bêta 8 qui corrigeait de nombreux bugs et apportait une nouvelle version de Firefox Sync. On sait également que Firefox 4 permettra de surfer en laissant moins de traces grâce à un filtre anti-cookies.




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Guerre des codecs vidéo : quand Microsoft se moque de Google

Un employé de Microsoft répond à Google de façon ironique après la décision du géant de la recherche de ne plus prendre en charge le codec vidéo H.264 dans son navigateur.
Nous vous en parlions hier : Google a décidé d’abandonner la prise en charge du codec H.264 dans ses prochaines versions de Chromium. Cela n’a pas fait que des heureux et a aussi provoqué une vague de moqueries chez certains, notamment son grand concurrent Microsoft, qui soutient justement le H.264. Dans un billet intitulé « Lettre ouverte du président des Etats-Unis de Google », publié sur son très officiel blog MSDN, Tim Sneath, un« tech evangelist » de Microsoft, attaque avec ironie la décision de la firme de Mountain View.
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Ecrit à la manière d’un communiqué de Google, il entreprend une analogie entre le Web, le codec vidéo porté par Google et l’esperanto, cette langue artificielle qui a échoué à devenir populaire. Pour Tim Sneath, le refus de Google de supporter le H.264, le codec le plus utilisé pour les vidéos sur le Web, revient à imposer un esperanto technologique que peu de gens utilisent. 
Et il n’y va pas de main morte dans sa critique : « nous changeons le langage parlé et écrit de cette nation, note Tim Sneath en se faisant passer pour le président des Etats-Unis de Google.Plus précisément, nous soutenons l’esperanto et le klingon et considérons ajouter le support d’autres langages artificiels dans le futur », poursuit Sneath, avec un lien assassin sur le mot klingon (le langage de Star Trek) menant à la page du codec Theora.
Et Sneath d’enchaîner en modifiant quelques mots dans la formule employée par Google dans son billet d’hier : « bien que l’anglais joue un grand rôle aujourd’hui, le nôtre est de permettre l’innovation ouverte. Ainsi l’emploi de l’anglais en tant que forme de communication dans ce pays sera interdit et nos ressources dirigées vers des langues qui ne sont pas polluées par les usages du monde réel. » La guerre des codecs est loin d’être terminée… 
Source : http://www.01net.com


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Microsoft réfléchit au déblocage de ses Windows Phone 7

Stop ou encore ? Microsoft réfléchit actuellement à l'éventualité de laisser ses mobiles sous Windows Phone 7 déblocables facilement. Une réunion avec les trois développeurs responsables du premier « jailbreak » de WP7 est même programmée pour discuter du sujet.

Stop ou encore ? Microsoft réfléchit actuellement à l'éventualité de laisser ses mobiles sous Windows Phone 7 déblocables facilement. Une réunion avec les trois développeurs responsables du premier « jailbreak » de WP7 est même programmée pour discuter du sujet.
Quelle attitude adopter face au phénomène de « jailbreak », soit la possibilité pour un consommateur de débloquer son smartphone pour y installer les applications de son choix ? C'est la grande question que semblent se poser les responsables du programme Windows Phone 7 chez Microsoft, quelques semaines après la mise en ligne d'un premier programme pour débrider les mobiles WP7, ChevronWP7, et de son retrait quelques jours plus tard sur demande de la firme de Redmond.

Si bien que les trois programmeurs à l'origine de cet « exploit », Raphael Rivera, Chris Walsh et Long Zhen, vont bientôt rencontrer les membres de l'équipe de développement WP7 afin de discuter « du potentiel des homebrew (NDR : applications faites maison) sur WP7 et des retours de la communauté dans son ensemble à propos de la plate-forme ». Un rendez-vous dont les conclusions seront publiées sur le blog de ces trois développeurs. Mais ils précisent aussi que Microsoft les a d'ores et déjà avertis que la faille de sécurité utilisée par ChevronWP7 serait comblée dans la prochaine mise à jour de Windows Phone 7, annoncée il y a quelques jours au CES de Las Vegas.




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Les nouveaux iPad 2 et CDMA confirmés par iOS 4.3

Si la beta iOS 4.3 apporte de nouvelles fonctionnalités, son code confirme également l'existence de nouveaux iPad et de l'iPhone 5 version GSM et CDMA.

Après les prétendues housses dédiées au nouvel iPad, la demande de retrait des dites housses de la part d'Apple voire les maquettes de l'iPad 2 aperçu lors du CES, un nouvel élément confirme  l'arrivée imminente de nouveaux iPad.

La bêta 1 de iOS 4.3 réservée au développeur confirme dans son code la présence de 3 nouveaux iPad référencés comme iPad 2.1 pour la version Wi-Fi, iPad 2.2 pour la version GSM et iPad 2.3 pour la version CDMA.

Même logique pour l'iPhone 5 qui apparait dans la liste des terminaux ( devices) sous les références iPhone 4.1 ( GSM) et iPhone 4.2 ( CDMA). Si Apple suit la même feuille de route et un renouvellement annuel de ses produits, les nouveaux iPad 2 devraient se voir officialiser dans les prochaines semaines.




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