mardi 27 octobre 2009

Facebook va proposer de la musique

Facebook et Lala viennent d’officialiser leur alliance après de longues négociations, cet accord permettra aux membres du réseau social de pouvoir offrir de la musique à leurs amis àécouter en streaming ou à télécharger.

Pour écouter un titre en illimité cela coûtera un crédit Facebook (10cents), le morceau pourra alors être écouter directement depuis une page Facebook ou sur le site de Lala. Si vous voulez acheter le titre au format MP3 et sans DRM il faudra payer 90 cents.

Pour rappel Lala c’est un catalogue de 7 millions de morceaux, Lala a aussi conclu des accords prestigieux avec les 4 principales majors (EMI Music, Sony BMG Music Entertainment, Universal Music Group et Warner Music Group) et environ 170 000 labels indépendants.

Le service ne sera malheureusement pour le moment uniquement réservé aux internautes américains qui y accèderont depuis la boutique cadeau de Facebook.

Je trouve assez marrant l’annonce de Facebook, qui tombe tout juste avant l’annonce public d’un partenariat entre Lala et Google qui devrait être officialisé demain dans la journée.


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MySpace annonce le lancement de Music Videos


Alors que l’on attend toujours la version de Google, Vevo, Le réseau social MySpace vient d’annoncer le lancement de MySpace Music Videos.

Réalisé en partenariat avec différents labels de musique, MySpace Music Vidéos veut devenir un point de rencontre pour les fans de musique en présentant des clips vidéos.

Myspace a également mis en place un esapce de gestion pour les artistes, ce qui leur permet de suivre en temps réel les statistiques détaillées sur les différents contenus qu’ils proposent.

Myspace a également annoncé la possibilité prochaine d’acheter directement la musique et les clips directement depuis MySpace Music.

Selon comScore MySpace aurait attiré 64,2 millions de visiteurs uniques en août, ce qui est plutôt décevant face à son concurrent Facebook qui lui a attiré 92,2 millions de visiteurs uniques en août.

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Google, Lala et Ilike pour un nouveau service de Musique en ligne

Selon certaines rumeurs, Google devrait confirmer dans les jours à venir, le lancement imminent d’un nouveau service de musique en ligne grâce à un partenariat réalisé avec Lala etIlike. L’annonce devrait être rendue officielle par Google le 28 octobre prochain.

Google aurait donc conclu un partenariat avec le site d’écoute en ligne Lala et le service de recommandation iLike, qui je le rappelle à récemment été racheté par MySpace.

Ce nouveau service serait appelé One Box ou Google Audio, et proposerait aux internautes des extraits de flux musicaux, eux même hébergés par ses partenaires. Les résultats seraient affichés lors d’une recherche sur un artiste ou un titre en particulier. Les résultats de cette recherche seraient même complétés par une série d’informations sur l’artiste.

Les musiques seraient donc disponibles à l’écoute directement depuis Google Search en streaming.

Alors rien de vraiment transcendant dans l’annonce, si ce n’est que Google veut absolument prendre une part du gâteau dans la musique en ligne, pour rappel le Géant avait signé il y a quelques mois plusieurs partenariats avec des maisons de disque pour le lancement prochain de Vevo, une plateforme de clips musicaux.

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samedi 17 octobre 2009

Piratage : Windows 7 Integral vendu à 2 euros en Chine


Le 22 octobre, en France, les consommateurs devraient pouvoir acquérir une licence de Windows 7 en édition Familiale Premium pour un peu moins de 200 euros et plus de 300 euros pour la versionIntegral. A l'autre bout du monde, en Chine, Windows 7 Integral est déjà disponible pour...2 euros. Plus précisément les versions piratées du prochain système d'exploitation de Microsoft seraient déjà en libre circulation au milieu des faux iPhone et répliques de sac à mains de luxe.

Matthew Cheung, analyste au cabinet Gartner, explique en effet que le facteur déterminant poussant les gens à acquérir de fausses licences de logiciels reste bel et bien le prix de vente pratiqué par l'éditeur. « Si vous tentez de vendre un logiciel à 2000 yuans à un étudiant qui ne gagne de 400 yuan par mois, cela ne fonctionnera pas pour la plupart des consommateurs », affirme-t-il. Certes la firme de Redmond multiplie les initiatives à destination des étudiants et devrait commercialiser l'édition Familiale Premium de Windows 7 pour 399 yuans (39 euros)... cela reste tout de même 15 fois plus cher qu'une copie piratée.

En juillet 2007, différentes arrestations en Chine ont permis le démantèlement d'un réseau accusé d'avoir émis pour plus de deux milliards de dollars de logiciels contrefaits, distribués par la suite dans plus de 27 pays différents. Bon nombre de ses logiciels étaient des produits Microsoft, de Windows Vista à Office 2007 en passant par Office 2003 ou Windows Server. Déclinés dans plus de 13 langues, les logiciels étaient commercialisés auprès d'entreprises et de particuliers. David Finn, avocat conseil spécialisé dans les affaires de piratage chez Microsoft avait alors déclaré : « Il s'agit du plus important réseau de piratage que nous ayons jamais vu, et nous pourchassons les contrefacteurs de logiciels dans le monde entier depuis 15 ans ».

Sur la question de l'ampleur du piratage en Chine les experts restent divisés. Pour Gartner, d'ici 2012, ces activités illégales seront réduites de moitié. Edward Yu, directeur de la firme Analysys International, estime pour sa part qu'« il s'agit d'un problème à long terme, 10 ou 20 ans ».

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Kaspersky, quatrième éditeur mondial de logiciels de sécurité, annonce le lancement imminent d'une version Mac de son antivirus grand public. Disponible dès la semaine prochaine en version boîte, elle s'adresse aux ordinateurs Apple équipés de processeurs Intel équipés de Mac OS X 10.4 (Tiger) et supérieurs. Un choix qui pourrait paraitre surprenant, dans la mesure où l'environnement logiciel d'Apple est réputé moins perméable aux menaces informatiques que Windows mais qui, selon Kaspersky, trouve sa justification dans deux phénomènes : l'intérêt grandissant des pirates pour Mac OS et l'hétérogénéité des parcs informatiques, particuliers ou professionnels.

« Apple a fait du bon travail pour une société qui n'est pas spécialisée dans la sécurité, mais la popularité grandissante des Mac les sort de l'obscurité et attire désormais les criminels », commente le russe Vartan Minasyan, chef de produit de cette nouvelle ligne d'antivirus, de passage à Paris.

Un nouveau cheval de Troie par semaine

En moyenne, l'éditeur affirme découvrir un nouveau cheval de Troie destiné à Mac OS par semaine. Le rythme n'a rien de comparable à celui de l'environnement Windows, qui serait frappé par une nouvelle menace toutes les trois secondes, mais devrait selon lui tout de même alerter les utilisateurs. D'autant que s'ils ne sont pas directement atteints par les virus et autres trojans venus du monde Windows, les détenteurs de Mac sont susceptibles de servir de relai de propagation à ces menaces. Mieux vaudrait donc les détecter, avant qu'elles ne puissent être transférées à d'autres.

Adoptant une interface censée coller aux canons esthétiques de Mac OS X, « Kaspersky Anti-Virus pour Mac » reprend à son compte le moteur d'analyse développé pour la version Windows du produit. Ce dernier cherchera à détecter les menaces spécifiquement Mac, ainsi que les virus Windows ou Linux même si ces derniers ne menacent pas directement la machine exécutant le logiciel.

Outre la protection « permanente », on retrouve différents niveaux de scans (rapide ou étendu) qui peuvent être planifiés. Comme sous Windows, la détection d'une menace entrainera l'affichage d'une alerte, de façon à ce que l'utilisateur s'il veut détruire le fichier concerné ou le placer en quarantaine. Capable de rechercher au sein des partitions bootcamp si celles-ci sont visibles depuis Mac OS X, Kaspersky Mac ne propose pas les fonctionnalités étendues de type « suite de sécurité » que proposent la plupart des éditeurs sous Windows.

La directive viendrait directement d'Apple, qui ne souhaitait pas, selon les représentants de Kaspersky, l'introduction d'un logiciel trop « complexe ». En respectant ce choix, l'éditeur russe ouvre la voie à de futurs produits complémentaires de son antivirus. Kaspersky Anti-Virus pour Mac peut dès à présent être acheté en ligne, et sera lancé en version boîte aux alentours du 22 octobre. Comptez 39,95 euros pour une licence valable un an, sur un poste.

lundi 5 octobre 2009

Windows Mobile 6.5 : Windows Marketplace disponible

Après une ouverture pour les développeurs, l'App store version Microsoft serait fin prêt. Selon Engadget, Windows Marketplace serait même déjà en service et ainsi prêt à être lancé en même temps que Windows Mobile 6.5.

Conçu pour fonctionner avec les Windows Phones, les smartphones embarquant Windows Mobile 6.5, cette plateforme devrait contenir pour son lancement quelque 20000 applications gratuites et payantes.

En ouvrant sa propre boutique en ligne, Microsoft emboîte ainsi le pas aux autres éditeurs d'OS mobile. Les téléphones sous Android ont Android Market, les Blackberry App World et Apple son App Store.


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vendredi 2 octobre 2009

Kouchner et NKM se félicitent de l'évolution du gestionnaire de l'internet


Le ministre des Affaires étrangères Bernard Kouchner et la secrétaire d'Etat au Développement de l'Economie numérique Nathalie Kosciusko-Morizet se sont félicités vendredi de la décision américaine de rendre l'Icann, le gestionnaire du net, plus ouvert au monde.

La France "a toujours soutenu que la responsabilité de garantir (la) sécurité et (la) stabilité (du réseau internet) ne pouvait échoir à un seul gouvernement ou à une seule organisation privée", ont-ils rappelé dans un communiqué.

"C?est pourquoi elle appelle depuis plusieurs années à une prise en compte des intérêts et des recommandations des gouvernements du monde entier dans la gestion de cette infrastructure vitale", ont-ils ajouté, en saluant "les réels progrès contenus dans le nouvel accord" signé mercredi entre le Département du Commerce américain et l'Icann.

L'Icann ne sera désormais plus soumis au seul contrôle du ministère américain du Commerce, mais à celui de commissions d'examen externes, dans lequel seront représentés des gouvernements du monde entier.

M. Kouchner et Mme Kosciusko-Morizet appellent "à une conduite rapide du processus de réforme de l?Icann, désormais face à des responsabilités accrues", et qui doit, selon eux, être "plus que jamais ouverte à tous les acteurs (entreprises, ONG, universités, gouvernements)".

"En coordination avec ses partenaires européens", la France "est prête à contribuer à la facilitation de ce processus", ont-ils souligné.

La France entend "participer très activement à une réflexion d?ensemble" pour "une gouvernance de l'internet multilatérale, transparente et démocratique", notamment à l?occasion du forum sur la gouvernance de l?internet, qui se tiendra à Charm el-Cheikh en novembre, ont-ils poursuivi.

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Security Essentials fera-t-il trembler les antivirus payants ?

Microsoft a-t-il perdu la tête ? Alors que le marché des logiciels antivirus peine à trouver son équilibre, l'éditeur a lancé mardi 29 septembre, Microsoft Security Essentials, un antivirus... gratuit. Certes, le logiciel est basique, et ne protège que des menaces les plus communes. Mais il n'en faudra certainement pas beaucoup plus aux utilisateurs lambdas pour se sentir en toute sécurité et ne pas acheter d'antivirus complet.

Pour le consommateur, c'est une bonne nouvelle. Des antivirus gratuits existent déjà depuis des années, par exemple Avast!, Antivir ou AVG, mais ils ont une fiabilité limitée et un rythme de mise à jour qui laisse parfois à désirer. De plus, ils ne disposent pas de tous les outils d'une suite complète. Les antivirus payants, de leur côté, rivalisent souvent avec des extensions lourdes et parfois inutiles, mettant en péril la vélocité du système. Pour plusieurs dizaines d'euros par an, le résultat est souvent décevant, même si l'ordinateur est bien protégé. Microsoft lance donc un défi aux éditeurs d'antivirus payants, qui vont devoir améliorer leurs logiciels - et revoir leurs tarifs ? - pour conserver leur place.

Une "défense réduite"

Microsoft Security Essentials permet d'ajouter un scanner antivirus à des éléments déjà présents dans Windows (Pare-feu, Windows Defender, etc.). Mais il ne dispose pas d'options avancées, permettant de surveiller directement les e-mails, par exemple. Extrêmement simple à utiliser, il dispose d'un bouton "analyser" et d'un bouton "mettre à jour". Dans la zone de notification (les petites icônes près de l'horloge), un voyant oscille entre le vert et le rouge, selon la situation du système.

"Les consommateurs nous disent qu'ils veulent la protection qu'offrent les logiciels en temps réel, mais nous savons que beaucoup d'entre eux ne veulent pas ou ne peuvent pas acheter", explique Amy Barzdukas, responsable de la sécurité des ordinateurs personnels chez Microsoft. Du côté des éditeurs d'antivirus payants, l'on essaie de minimiser l'impact du logiciel de Microsoft, sans toutefois tirer à boulets rouges. "Du point de vue de la sécurité, cet outil Microsoft fournit une défense réduite à un moment crucial de la lutte contre la cybercriminalité", déclare Symantec, l'éditeur du célèbre antivirus Norton.

Sécuriser Internet

De son côté, l'éditeur allemand G-Data explique au point.fr que "cela va dans le bon sens" pour "sécuriser un peu mieux Internet". "Toutefois, tempère le porte-parole, il faut désormais voir si les gens qui achètent des solutions payantes vont avoir confiance dans l'antivirus de Microsoft, alors même qu'ils se procurent un antivirus parce que le système d'exploitation de Microsoft, Windows, n'est pas sécurisé." Touché.

L'antivirus de Microsoft a été lancé à l'issue d'une phase de test de plusieurs mois ouverte à tous les internautes. Fonctionnant avec Windows XP, Vista et 7 (versions authentiques uniquement), le logiciel est téléchargeable gratuitement en français sur le site de Microsoft . La firme de Redmond s'était auparavant essayée à l'antivirus payant, avec Live OneCare pour le grand public, mais avait abandonné début 2009, faute de succès.

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Google affine sa recherche et filtre l'e-commerce

Hier, Google a commencé à livrer les premières invitations de Wave, sa plate-forme de messagerie collaborative qui constitue, de l'aveu de certains de testeurs, une petite révolution. Derrière ce coup marketing bien orchestré ("qui a une invit' ?"), une annonce bien plus discrète, intervenue dans la soirée, peut prétendre au statut de nouveauté la plus importante du moment : Google propose enfin de nouvelles options de recherche.

Voici ce que l'on trouve désormais sur le site américain :


· La recherche selon une date précise, y compris les plus récentes, s'approchant du temps réel (déjà disponible).

· La recherche parmi les pages déjà visitées (pour retrouver un résultat), ou les pages au contraire jamais visitées.

· La recherche parmi les tests, les forums et les vidéos, les livres, les blogs et les actualités.

· La recherche minimisant l'importance des sites marchands.

Cette dernière option paraît, de loin, être la plus intéressante. Les sites d'e-commerce ont en effet totalement perverti Google, occupant une place écrasante sur n'importe quelle recherche de produits, sans que personne ne s'en soucie vraiment.

Il n'y aurait là rien d'anormal si le contenu était à la hauteur, puisque Google ne cesse de prétendre que c'est là le critère de base pour avoir ses faveurs. Mais ce n'est pas le cas. Les résultats mènent le plus souvent vers de banales descriptions sans réelle valeur ajoutée. Les tests, les avis et les comparatifs, par exemple, y sont très rares, sauf chez les plus gros. Recourant à toutes les bonnes vieilles techniques d'optimisation, formatant à l'extrême leurs sites pour Google, ces e-commerçants ont rendu beaucoup recherches totalement vaines.

Toujours pas de barre latérale en France

Depuis hier, Google propose donc en partie d'y remédier. Une option "fewer shopping sites" (moins de sites marchands) a fait son apparition dans la colonne de gauche. Après quelques essais, la différence est réelle. Lors d'une recherche d'avis sur des iPod, Google fait par exemple disparaître plusieurs sites marchands des premiers résultats pour privilégier des articles complets. Et ne maintient les e-commerçants que pour leur guide.

Le rendu n'est pas encore parfait. Une vidéo YouTube menant vers un de ces sites est toujours référencée (Google ne va pas exclure ses propres pages). Et nul doute que des techniques de contournement similaires deviendront populaires. Mais Google a tout intérêt à se perfectionner. Cette option, si elle est mise en évidence, est un motif supplémentaire d'achat de liens sponsorisés, qui permettent de figurer artificiellement en tête des résultats dans les espaces publicitaires immunisés contre ce réglage.

Hélas, le raffinement, tout comme la barre de recherche latérale, ne sont pas encore visibles dans la version française. Google cherche en effet à répondre au plus vite à Bing, qui propose aux Etats-Unis une barre de raffinement similaire. Search Engine Land, dans un long billet, relève beaucoup d'incohérences, suggérant que la mise en ligne s'est fait dans une certaine urgence. Avec plus de 90% du marché et aucun concurrent au niveau, la pression n'est pas tout à fait la même pour Google en France.

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jeudi 1 octobre 2009

Microsoft lance son anti-virus gratuit

Il est désormais possible de protéger son PC contre les virus avec une solution 100% Microsoft et 100% gratuite. Les éditeurs de solutions payantes font la fine bouche.

Après l'avoir testé dans quelques pays, Microsoft a lancé mardi un programme gratuit offrant une protection contre les virus et autres logiciels malveillants, téléchargeable sur son site.

"Avec Microsoft Security Essentials, les consommateurs peuvent avoir une protection de haute qualité facile à obtenir et à utiliser, et qui n'apportera pas de gêne", a déclaré Amy Barzdukas, responsable de la sécurité des ordinateurs personnels chez Microsoft.

"Les consommateurs nous disent qu'ils veulent la protection qu'offrent les logiciels en temps réel, mais nous savons que beaucoup d'entre eux ne veulent pas ou ne peuvent pas acheter" des programmes anti-virus, a ajouté Mme Barzdukas. Microsoft est d'autant mieux placé pour dresser ce constat qu'il a lui-même échoué à dépasser les 2% de part de marché avec sa propre solution payante baptisée OneCare. Microsfot Security Essentials en reprend d'ailleurs les principaux éléments.

Anti-virus ou anti-piratage?

Parmi les spécialistes de la sécurité informatique, la société Symantec a minimisé la concurrence offerte par le programme gratuit de Microsoft, estimant qu'il ne suffirait pas à contrer les attaques les plus sophistiquées. "Du point de vue de la sécurité, cet outil Microsoft fournit une défense réduite, à un point délicat de la bataille contre la cybercriminalité", a fait valoir Symantec, qui commercialise les anti-virus Norton.

McAffee, le n°2 mondial du secteur, affiche la même sérénité apparente.

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