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l'apprentissage du web 2.0

Depuis un bon moment je m'interroge sur le Web 2.0 et ses applications au domaine de l'apprentissage. Bien que je trouve la panoplie de termes "2.0" plus ou moins appropriée, il faut bien faire avec à défaut de meilleurs termes.

Quoi qu'il en soit, il faut admettre qu'il existe une panoplie d'outils collaboratifs et qu'il est évidemment possible de les utiliser pour supporter l'apprentissage. Je crois cependant que ces outils se prêtent d'avantage à l'enseignement, surtout au niveaux supérieurs, qu'à la formation en entreprise. Par exemple, un wiki peut être très utile pour la rédaction de rapports de recherche en équipe ou encore, un fil RSS peut permettre à un professeur de transmettre de l'information à ses étudiants.

Ainsi, je suis maintenant convaincu des applications possibles du Web 2.0 au niveau de l'enseignement supérieur, mais j'ai toujours de très grandes réticences en ce qui concerne la formation en entreprise. Dans ce contexte, je vois d'avantage ces outils comme des outils de productivité que des outils d'apprentissage: par exemple, le wiki, dans un contexte d'entreprise, sera davantage utilisé pour collaborer à la rédaction de document que pour la formation. Je crois que la principale raison est que, dans l'entreprise, la formation est d'avantage orienté vers les compétences que les connaissance et exige conséquent moins de réflexion et d'échange entre les apprenants.

Qu'en pensez-vous? Suis-je à côté de mes pompes? Si c'est le cas, je ne demande qu'à être convaincu de l'utilité du Web 2.0 dans la formation en entreprise.

En passant, pour ceux que ça intéresse, j'ai posté sur mon blog un tableau des meilleurs outils Web 2.0 pour l'apprentissage.Cliquez ici pour y accéder.

• Publié par Guy Boulet
• http://pedagotic.bloguez.com/

webmarketing

Web Marketing For Small Business from Haydn O'Meagher on Vimeo.

Formes de monétisation du 2.0 et modèles publicitaires

Internet actu propose 4 formes de monétisation de vos sites web : pub, freemium, market place et dons. Les césures sont bien entendu radicales et sont surtout intéressantes lorsqu’on imagine des formes combinées ou évoluées.
De ces 4 formes de rentabilité d’un site 2.0, les 3 auteurs de l’article ont développé le premier, la forme publicitaire, pour la subdiviser en 4 modèles : le modèle classique de l’affichage, le matching (Adwords et consorts), l’ « intermédiation chaude » et le Social média Marketing.
FREE !
Tout cela pour peut-être en arriver à un modèle du web qui se résumerait à ceci : FREE ! C’est en tout cas la conviction de Chris Anderson (l’inventeur du concept de la fameuse long tail) ; dans cet article (dont vous trouverez ici un version francophone), Anderson envisage la culture du tout-gratuit digital suivant quelques scénarii dont le très efficace « Cross-subsidies » qui consiste, par exemple, à donner quelque chose qui appelle l’achat d’un autre produit (Itunes, GSM offerts par opérateurs, …).
Pour le jeu, on peut se poser la question jusqu’où le free peut aller, en -dehors de la sphère digitale. Ça ne coûte rien de se poser la question…
Anderson s’exprime sur sa théorie du free.

Marketing On The Beach

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Site du tuto vectoriel

tutsplus

Voici un site qui contient plusieurs tuto gratuit et surtout trés amusante !!!
je vous invite a le consulter http://vector.tutsplus.com/

Infographie

LE CONCERT GRAPHIQUE

Windows 7 a un effet positif sur les ventes d'Acer

« Lorsque nous avons découvert les caractéristiques de Windows 7, nous avons su que cela serait bon pour la demande », a déclaré Gianfranco Lanci, le PDG d'Acer en marge d'une conférence à Tokyo.

Le constructeur taïwanais a maintenu ses objectifs pour le quatrième trimestre avec une croissance égale à celle du trimestre précédent, mais en hausse de 25% par rapport au dernier trimestre 2008. Pour l'année prochaine, Acer, actuel n° 2 mondial derrière HP, mise sur une croissance de l'ordre de 15%. Dell a lui aussi noté un pic de ses ventes depuis la sortie de Windows 7.

Selon les derniers chiffres de NetApplications, le nouvel OS de Microsoft détient actuellement 4% de part de marché. Il a avait fallu sept mois à Windows Vista pour atteindre ce pourcentage.

Google travaille à une nouvelle interface de son moteur

Le site Google BlogoScoped nous apprend que Google travaille à une nouvelle interface de son moteur de recherche. Il s'agit essentiellement d'une refonte graphique mais aussi d'un enrichissement des options de recherches dans la page de résultat.

L'éventuelle future «Home» se distingue de l'actuelle par un logo redessiné. Si elle n'a pas totalement disparue, l'ombre portée se fait désormais beaucoup plus discrète. Les caractères empruntent un ton pastel qui limite l'effet brillant et gaufré du logo actuel. Les boutons «Google Search» (Rechercher) et «I'm Feeling Lucky» (J'ai de la chance) privilégient désormais un aplat sur bleu en lieu et place des classiques boutons chromés. Enfin, deux nouveaux liens apparaissent sous le champ de saisie : «Make Google your home page» (Faire de Google votre page d'accueil) et «Advertising program», lequel renvoie vers la présentation des offres de campagne d'annonces AdWords (pour les annonceurs) et AdSense (pour les webmasters).

La page de résultats présente une évolution plus intéressante. Une barre latérale s'affiche désormais dans la partie gauche de l'écran. Elle introduit des fonctions de filtrage de résultats. Une interface d'affinage des résultats affichée par défaut mais proposée depuis mai 2009 en option dans la version américaine Google.com largement inspiré de ce que fait depuis des années Exalead.

Les résultats de recherche restent identiques dans les deux interfaces. Il s'agit donc bien d'un travail de «ravalement» sur lequel Google n'a pas communiqué l'éventuelle mise en place. Il est cependant intéressant de noter que ces nouveaux design et ergonomie en vue arrivent au moment où Bing, le moteur de recherche de Microsoft, gagne quelques points sur le marché américain (sans que Google en perde pour autant).

Surtout, les rumeurs d'accord entre Microsoft et NewsCorps qui menace de déréférencer ses titres en ligne (Fox News, Wall Street Journal, Dow Jones...) du moteur de Mountain View au profit de celui de Redmond, pourrait inquiéter Google plus qu'il ne le laisse croire. Selon Comscore, l'ensemble des sites web du groupe de Rupert Murdoch ont réalisé 39,5 milliards de pages vues en novembre.

Google peut-il vraiment se passer de ces contenus? Cependant, ce n'est pas une nouvelle interface de son outil qui fera changer d'avis le magnat de la presse anglo-saxonne. De plus, avec plus des deux tiers de marché américain américain de la recherche en ligne, Google peut difficilement augmenter son audience et, donc, son influence.