lundi 17 octobre 2011

Google ferme son service Buzz

Le cofondateur de Google, Sergey Brin, lors du lancement de Google Buzz, le 9 février.

Un an et demi après son lancement en fanfare, Google va fermer, "dans les prochaines semaines", son service Buzz, un réseau social dont le lancement avait été entaché de graves problèmes de confidentialité. Mis en ligne en février 2010, Buzz était conçu comme un concurrent de Facebook, très intégré à la messagerieGmail de Google.

Se basant sur les listes de contacts des utilisateurs de Gmail, Buzz permettait decréer des discussions ou de mettre à jour des statuts, mais ces informations étaient, au lancement du service, accessibles par défaut à un très grand nombre d'internautes. Cible de vives critiques, Google avait alors modifié à plusieurs reprises son service pour renforcer les paramètres de gestion de la vie privée, mais cela n'avait pas été suffisant pour permettre au service de décoller face à Facebook.
Plus tôt cette année, Google avait lancé un nouveau réseau social, Google+, nettement plus complet que Buzz. Pour ce nouveau service, le moteur de recherche avait également pris en compte les critiques qui avaient visé Buzz, en proposant une gestion des paramètres de vie privée à la fois plus simple et plus complète. En toute logique, Google a annoncé souhaiter se concentrer uniquement sur Google+, et fermera donc Buzz dans les prochains jours ; les informations déjà publiées pourront être laissées en ligne par les utilisateurs ou téléchargées.
"Notre but est de créer des produits qui changent vraiment la vie des gens, des produits qu'ils utilisent deux ou trois fois par jour", explique Google dans un post de blog qui annonce, outre la fermeture de Buzz, celle d'autres services comme Code Search et Jaiku. "Pour réussir, il est nécessaire de se concentrer et de réfléchir en permanence à ce sur quoi vous travaillez – et, de manière encore plus importante,penser à ce sur quoi vous ne travaillez pas."
Source : http://www.lemonde.fr



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vendredi 7 octobre 2011

iPhone 4S - L'action en bourse ne brille pas après l'annonce

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Chute de l'action Apple pendant la Keynote de l'iPhone 4S :

L'action Apple a chuté de près de 5% à l'issue de la conférence animée par le nouveau PDG Tim Cook, avant de se reprendre au sujet de l'iPhone 4S.
La première intervention publique de Tim Cook comme PDG d'Apple n'a pas vraiment enthousiasmé les marchés. À l'issue de la conférence qui se tenait dans les locaux d'Apple à Cupertino, l'action du groupe américain a immédiatement cédé près de 5% au Nasdaq, soit l'une des plus forte baisses depuis l'annonce du passage des Mac aux processeurs Intel et le lancement du premier MacBook Air. Le titre est finalement presque revenu à l'équilibre, clôturant en baisse de 0,56%.

Une avalanche de succès qui ne suffit pas :

Durant cette présentation d'un peu plus d'une heure et demie, Apple a pourtant égrené ses succès. Les ventes de Mac ont ainsi augmenté de 23% sur un an, contre 4% pour le marché des PC. Les MacBook Pro et l'iMac sont aujourd'hui l'ordinateur portable et l'ordinateur de bureau les plus vendus aux États-Unis. L'iPod, l'iPhone et l'iPad sont aussi les plus populaires de leur secteur.

L'iPhone 4S déçoit, par son nom...

Mais ce qui a retenu l'attention, c'est bien l'annonce du seul iPhone 4S. Comme lors de la transition entre les iPhone 3G et 3GS, Apple a prolongé le design du modèle précédent, l'iPhone 4. La plupart des nouveautés se situent à l'intérieur : nouveau processeur double-cœur A5, appareil photo plus rapide, meilleure antenne, autonomie allongée d'une heure lors des appels 3G
«Ils auraient pu l'appeler l'iPhone 5» Le vrai iPhone 5, lui, n'a pas été présenté. «Il s'est écoulé seize mois (depuis la sortie du dernier iPhone, ndlr), et tout ce qu'on voit là, c'est un processeur A5 dans un iPhone 4», déplore Colin Gillis, analyste chez BGC Partners. Depuis plusieurs semaines, des fabricants chinois de housse de protection vendaient des modèles prétendument pour un téléphone au design radicalement différent. Ils avaient utilisé la même méthode, avec succès cette fois, avant le lancement de l'iPad 2.





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Firefox va se mettre à jour en « silence »...

A l'instar de Google Chrome, le navigateur de Mozilla se mettra désormais automatiquement à jour sans prévenir ses utilisateurs. Une évolution prévue pour 2012 avec la version 10.

A l'instar de Google Chrome, le navigateur de Mozilla se mettra désormais atutomatiquement à jour sans prévenir ses utilisateurs. Une évolution prévue pour 2012 avec la version 10.
Même si Mozilla affirme qu'il ne copie pas Chrome, Firefox deviendra l'an prochain le second navigateur du marché à se mettre à jour sans en avertir l'internaute. Comme Mozilla a calqué son rythme des mises à jour sur Chrome, forcément, elles sont plus régulières et donc plus gênantes. Toutes les cinq semaines, une pop-up vous informe que Firefox doit être mis à jour?
Pour éviter que cela ne dérange trop la navigation, Firefox se mettra donc désormais à jour sans prévenir l'utilisateur. S'il s'agit d'une mise à jour importante (type de sécurité, ou nouvelles fonctions), l'internaute recevra simplement un message l'invitant à redémarrer son navigateur.
Mozilla a précisé que cette nouvelle fonction serait définitivement intégrée dans Firefox à partir de la version 10, attendue pour début 2012. Se posera tout de même la question des extensions qui, elles, ne suivent pas forcément le rythme de développement de Firefox et devront donc s'adapter.





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Norton s’attaque au « Likejacking » sur Facebook

Qui n’a jamais été tenté de cliquer sur une vidéo intitulée « VOUS N’EN CROIREZ PAS VOS YEUX », sur le mur Facebook d’un ami ? Difficile d’y résister ! Mais ces vidéos s’avèrent souvent être des arnaques baptisées « likejacking » : en cliquant sur la vidéo, le bouton « J’aime » est automatiquement déclenché, sans que l’utilisateur s’en aperçoive. Par conséquent, la vidéo malicieuse en question est publiée sur son propre mur. Outre l’embarras ou l’agacement que ce type d’action involontaire peut générer, le «likejacking » peut permettre aux « cyber-escrocs » d’infecter des ordinateurs ou d’usurper des identités.

Le nombre d’attaques par « likejacking » varie chaque jour. Une récente analyse de 3,5 millions vidéos effectuée le 2 août dernier par Norton, a identifié jusqu’à 15% de posts uniques comme étant des attaques par « likejacking ».

Norton Safe Web pour Facebook, accessible depuis la page Facebook de Norton, est une application gratuite qui analyse le fil de liens envoyés sur le mur d’utilisateur et détecte les URL contenant des risques de sécurité, notamment ceux de sites de phishing, de téléchargement de programmes malveillants ou encore de liens renvoyant vers d’autres sites à risque. Pour protéger les utilisateurs de Facebook contre le « likejacking », Norton Safe Web pour Facebook identifie désormais les URL ou vidéos de « likejacking » sur la base de l’analyse par Norton des millions de publications. Chaque fois que Norton Safe Web pour Facebook analyse les nouvelles publications dans le fil d’actualités, les attaques par « likejacking » détectées sont inscrites dans le rapport d’analyse et publiées sur le mur de l’utilisateur afin que ses amis soient avertis de ne pas cliquer sur le lien.

En plus de protéger les utilisateurs de Facebook contre le « likejacking » et les sites Web malveillants, Norton participe également à sensibiliser les consommateurs aux menaces du Web grâce au Norton Cybercrime Index. Désormais disponible sur Facebook, le Norton Cybercrime Index est un outil gratuit qui évalue les risques de cybercrime chaque jour et en informe les internautes du monde entier. Il publie quotidiennement une évaluation chiffrée du degré de risque du jour, calculé par un algorithme qui analyse les données de différentes sources. Il propose également des commentaires sur les menaces du jour et des recommandations de protection. Les fans de la page Facebook de Norton peuvent en outre partager cet outil et des informations utiles sur la cybercriminalité avec leurs amis pour les aider à se prémunir contre les menaces d’Internet, en constante évolution.

Source : http://www.informaticien.be



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Mise à jour de Google Docs sur Android.

Google a lancé une nouvelle version de son application Docs pour Android.
image:http://assets.branchez-vous.net/admin/images/techno/google-docs-android.jpg
Cette mise à jour améliore les performances de la lecture des vidéos, mais surtout elle apporte une nouvelle interface pour les tablettes fonctionnant sous Android 3.x (Honeycomb). Cette interface se compose maintenant de trois volets, ce qui permet de naviguer plus facilement dans les différents documents.
Le premier volet permet d'effectuer un tri en affichant soit tous vos documents, soit seulement une partie : ceux que vous avez créés, ceux que vous suivez ou ceux appartenant à une collection en particulier. La colonne centrale les liste, tandis que celle de droite vous propose des informations sur son contenu : une miniature, la date de création, de dernière modification et la liste des personnes ayant accès aux documents ainsi que leur niveau d'accréditation. Google a d'ailleurs annoncé la mise en place d'une saisie semi-automatique afin d'ajouter plus facilement un contact. Il semblerait que cette fonctionnalité marche plutôt bien.
Le géant du web précise également qu'il est possible d'utiliser l'application en mode paysage ou portrait (enfin!). Dans ce dernier, lorsque vous sélectionnez un document, le premier volet disparait pour laisser place au troisième.
Si vous souhaitez télécharger l'application, il faut se rendre à cette adresse.


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Windows 8: Pourquoi l'abandon du menu démarrer ?

Windows 8 a la particularité de changer radicalement son interface. Ainsi, avec Metro, fini le bon vieux menu Démarrer. Fonction emblématique de Windows depuis la version de 1995, elle disparaît dans la version 2012. Microsoft vient d'expliquer pourquoi.
Ainsi, pour le géant américain la raison est simple: plus personne (ou presque) ne s'en sert. Pour Microsoft, le menu Démarrer ne sert plus qu'à lancer les programmes que nous utilisons rarement. D'après une étude il y a eu une baisse sensible de l'utilisation du menu entre Windows Vista et Windows 7. Le nombre de clics sur Images ou Documents depuis le menu Démarrer aurait diminué de 61 % et 56 % respectivement.
Une solution devait être trouvée pour rendre cela plus attractif, et c'est ainsi que Microsoft a décidé de remplacer son menu Démarrer par un écran de démarrage, qui aura pour but de permettre une meilleure navigation entre les applications, d'embarquer des notifications et d'être personnalisable... tout ce que le "vieux" menu Démarrer ne proposait quasiment pas. «Cet écran apportera un certain nombre de solutions qui sont aujourd'hui peu ou mal intégrées», explique Microsoft.


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Ultrabook : HP et Dell en piste fin 2011 début 2012

Les deux géants américains devraient dévoiler leurs ultra-portables en décembre et janvier. Dell devrait dévoiler son ultrabook au CES 2012.

Les deux géants américains devraient dévoiler leurs ultra-portables en décembre et janvier. Dell devrait dévoiler son ultrabook au CES 2012.
Concept mis au point par Intel pour concurrencer les MacBook Air d'Apple,l'Ultrabook séduit de plus en plus de constructeurs, et HP et Dell auraient décidé de lancer leurs propres modèles.
C'est ce qu'avancent des firmes asiatiques impliquées dans leur conception, citées par Digitimes. HP dévoilerait son modèle d'ultrabook pour les fêtes de fin d'année, tandis que Dell en garderait la primeur pour le CES 2012 en janvier prochain.
Pour Dell, c'est le taïwanais Wistron qui serait au cur de la fabrication, et il s'agirait d'un modèle d'ultrabook doté d'un écran de 14 pouces. C'est la même société qui est derrière le modèle Acer AspireS3. Pour HP, c'est Quanta Computer qui s'occuperait des composants.





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Steve Jobs, le culte de la perfection

Steve Jobs lors d'une conférence de presse après son retour chez Apple, le 10 novembre 1997.

Le patron d'Apple, décédé mercredi à l'âge de 56 ans, a guidé son entreprise vers les sommets grâce à une gestion particulièrement stricte de ses équipes.

Steve Jobs, décédé mercredi à l'âge de 56 ans, avait l'image d'un génie solitaire, toujours à la manœuvre pour les présentations des produits Apple. Adulé pour avoir sauvé son entreprise de la faillite à la fin des années 1990, il a été l'objet d'un véritable culte de son vivant, avec des adeptes, des figurines à son effigie, des sites Internet qui compilaient ses citations et des blogs qui le parodiaient. Des livres, des documentaires et des films lui ont aussi été consacrés. Sa biographie officielle, la première, sortira le 2 novembre.
Loin de l'image de l'entrepreneur solitaire qui l'a accompagné, Steve Jobsétait pourtant d'abord un chef d'entreprise qui savait parfaitement s'entourer. «Ce pour quoi je suis le meilleur, c'est trouver un groupe de gens talentueux et fabriquer des choses avec eux», expliquait-il en 1985 au magazineNewsweek, après la sortie du premier Macintosh. «J'engage des gens qui veulent réaliser les meilleures choses au monde», confirmait-il vingt ans plus tard dans un entretien à Business Week.
Ces employés - ils sont plus de 40.000 aujourd'hui - lui sont restés pour la plupart fidèles. Parmi la garde rapprochée de Steve Jobs figuraient jusqu'à sa démission du poste de PDG en août des anciens de NeXT, la société informatique montée après son éviction d'Apple à la fin des années 1980. «Apple fait partie de ces sociétés à laquelle on consacre un investissement quasi religieux», expliquait il y a peu un ancien de la société, aujourd'hui chez Facebook. Comme leur patron, les salariés «estiment sincèrement qu'ils contribuent à changer le monde».

Interventionniste et perfectionniste chez Apple

Travailler avec Steve Jobs n'avait pourtant rien de simple. Sous son ère, le processus de création émanait des plus hautes sphères. Sûr de son fait, le PDG imposait sa vision. Dans les interviews, Jobs citait souvent ce bon mot d'Henry Ford :«Si j'avais demandé à mes clients ce qu'ils attendaient, ils auraient répondu ‘un cheval plus rapide'», et non une voiture. «Ce n'est pas le rôle du client de savoir ce qu'il veut», ironisait-il peu après la présentation de l'iPad.
Déterminé, Steve Jobs perçoit dès le début des années 1980 que l'ordinateur personnel va devenir un bien de grande consommation, quand l'industrie tend encore à imaginer le PC comme un modèle réduit des ordinateurs réservés aux professionnels. Il récupère le projet Macintosh à Jef Raskin, que l'interventionnisme du jeune co-fondateur d'Apple finit par exaspérer. Incontrôlable, Steve Jobs impose ses vues, touche à tout et met ses équipes au secret. Vingt ans plus tard, il appliquera les mêmes recettes lors du développement de l'iPhone.
À chaque fois, Steve Jobs se montre d'un perfectionnisme implacable. Chez Apple, ses proches gardent en mémoire ses sombres colères et ses jugements glaçants. «Nous n'avons pas encore de produit», a-t-il lancé devant 200 personnes lors de la première grande présentation d'un prototype de l'iPhone en 2006, à quelques semaines seulement du lancement du premier téléphone d'Apple. «Il était méthodique et attentif à tout», racontait à l'automne dernier John Sculley, PDG d'Apple dans les années 1980, un des responsables de son éviction à qui il n'a jamais pardonné.

Une université pour transmettre la pensée de Steve Jobs

Pointilleux, Steve Jobs était avant tout un adepte du minimalisme. De retour chez Apple en 1997 après dix ans d'absence, il stoppe la commercialisation du Newton, l'assistant personnel dont l'iPhone est un lointain héritier et renonce aux clones, ces ordinateurs compatibles avec le Mac mais conçus par d'autres fabricants. Apple revient à l'essentiel, les ordinateurs, et réduit ses gammes à quelques produits. «Il faut dire non à un millier de choses pour s'assurer que nous ne faisons pas fausse route ou que nous n'en faisons pas trop», estimait Jobs.
Ce management exigeant fait des ravages parmi les employés et les partenaires d'Apple, contraints de se fondre dans ce moule. «Steve Jobs a mis des personnes mal à l'aise et il en a fait pleurer», a raconté Jean-Louis Gassée, ancien dirigeant d'Apple France, au magazine Fortune. «Mais il avait raison presque à chaque fois, et même lorsqu'il avait tort, il apportait une telle créativité que cela demeurait étonnant. Les démocraties ne font pas de superbes produits. Vous avez besoin pour ça d'un tyran compétent», a-t-il ajouté.
Au fil des ans, ce tempérament a rejailli à tous les niveaux chez Apple. Plus que le culte de sa personne, c'est le culte de la marque que le co-fondateur d'Apple a cherché à entretenir. Avant même le lancement de nouveaux ordinateurs, il accompagne son retour chez Apple d'une campagne publicitaire, «Think Different», qui associait Apple à des figures telles que Gandhi, Einstein et Picasso. Ces publicités, a-t-il admis un jour, étaient autant destinées aux clients d'Apple qu'à ses salariés, pour leur redonner l'amour de leur travail. «Car nous avions perdu de vue ce que nous étions.»
Pour s'assurer qu'Apple lui survive, une université a été ouverte en 2008 au sein du groupe américain afin de former les prochaines générations de dirigeants appelés à lui succéder, qui entoureront le nouveau PDG Tim Cook. Avec cette université, Steve Jobs veut garantir que son mode de pensée, qui l'a conduit à distancer la concurrence, sera décortiqué, analysé et conservé «pour que les prochaines générations de dirigeants puissent les consulter et s'en faire les interprètes», écrivait récemment le magazine Fortune. La mission de Steve Jobs, elle, est réussie. Il laisse derrière lui la société la plus valorisée au monde.

Source : http://www.lefigaro.fr


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samedi 24 septembre 2011

Google+ s'ouvre à tout le monde, avec de nouvelles fonctionnalités

Le réseau social de Google passe à la vitesse supérieure en permettant à tous de s'inscrire, et en améliorant un de ses services phares, le tchat vidéo.

Le tchat vidéo arrive sur les mobiles.
Le réseau social de Google, Google+, est désormais ouvert à tous sans invitation. En parallèle, il s'agrémente de nouvelles fonctionnalités.
Le tchat vidéo est étendu au mobile, via une application disponible sur l'Android Market et bientôt sur l'AppStore. Il permettra également d'enregistrer un message vidéo pour le diffuser en différé à n'importe qui sur le réseau. Enfin, toujours dans le tchat vidéo ("Vidéo bulle"), Google ajoute le travail collaboratif en permettant le partage d'écran, de Google docs ou de dessins.
Le champ de recherche, à l'intérieur de Google+, pourra servir en outre à effectuer des recherches sur le web, et plus seulement sur le réseau social.


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Windows 8 ne gênera pas le démarrage de Linux, selon Microsoft

Microsoft a réagi à la polémique sur le risque d'un blocage du dual boot Linux sur un ordinateur certifié Windows 8. La firme affirme que ce problème n'est pas lié à Windows mais se situe au niveau de l'UEFI, programme qui va succéder au BIOS. Microsoft estime que c'est aux constructeurs de permettre la désactivation du démarrage sécurisé au niveau de l'UEFI. Le feront-ils ?
Les nouvelles exigences en matière de sécurité voulues par Microsoft lors du démarrage de l'ordinateur vont-elles empêcher les utilisateurs d'installer un chargeur d'amorçage leur permettant d'utiliser un système d'exploitation alternatif, comme une distribution Linux ? C'est la crainte de Matthew Garrett, développeur chez Red Hat. Il craint que les clients ne pourront pas installer Linux en dual boot sur des ordinateurs certifiés Windows 8.
Protéger le démarrage du PC
Quel est le problème ? Afin d'empêcher que la séquence de démarrage de l'ordinateur ne soit affectée par des logiciels malveillants, Microsoft a voulu renforcer cette partie grâce au "démarrage sécurisé" (secure boot). Cette procédure, chiffrée, a pour objectif d'empêcher la modification de la séquence de démarrage au sein  de l'UEFI (Unified Extensible Firmware Interface), interface qui va succéder au fameux BIOS.
Pour recevoir le label "compatible avec Windows 8", les fabricants devront répondre aux exigences de Microsoft en matière de sécurité. Ils seront donc poussés à intégrer le démarrage sécurisé afin de recevoir l'autocollant qui reste, aux yeux du grand public, un gage d'assurance certain. Pour des raisons commerciales, les constructeurs seront naturellement incités à suivre les recommandations de Microsoft.
"La nouvelle procédure de démarrage demande que les 'clés de signature' soient installées dans le firmware de l'ordinateur. Le démarrage sécurisé empêche les exécutables d'être lancés s'ils ne sont pas signés par l'une des clés" a expliqué Matthew Garrett. Or si Microsoft n'aura aucune difficulté à franchir ces étapes avec sa signature, ce n'est pas le cas des autres O.S.
Microsoft aura les clés. Mais les autres ?
Microsoft, qui demeure l'O.S. le plus utilisé dans le monde, sera forcément pris en compte par défaut. Mais les autres ? Plusieurs cas de figure peuvent se poser. Pour les distributions Linux de premier plan, on peut imaginer que les clés de déchiffrement seront obtenues, du fait de la visibilité de certains éditeurs. Ensuite, encore faut-il que celles-ci soient prises en compte par les constructeurs, puisque ce sont eux qui, au final, intégreront ces clés dans le matériel.
À supposer que les fabricants ne soient pas adeptes du minimum syndical, on peut penser que des distributions importantes auront tissé des accords de manière à intégrer leurs clés. Dans le cas des distributions Linux de moindre importance, la situation se corse. Il n'est déjà pas certain qu'elles puissent obtenir les clés, pour des raisons techniques, légales ou financières, et même si c'est le cas il n'est pas sûr que les fabricants souhaitent se fouler pour des distributions mineures.
Rappelons au passage que l'UEFI est né au sein d'un consortium réunissant des entreprises telles que AMD, Apple, Delle, Hewlett Packard, IBM, Intel, Lenovo ou encore Microsoft. C'est au sein de ce groupe d'industriels que le principe du démarrage sécurisé a vu le jour. Et Microsoft, dans un billet de blog, est sorti de son silence pour rappeler que c'est aux fabricants de prendre leurs responsabilités.
La balle est dans le camp des constructeurs
Dans un message publié jeudi, Microsoft explique qu'une option destinée à désactiver le démarrage sécurisé au sein de l'UEFI est toujours possible. Il suffit de se rendre dans le paramétrage et de changer le paramètre. Or, encore faut-il que celui-ci existe. Rien n'indique en effet que cette option soit en effet prévue dans chaque matériel certifié Windows 8.
Microsoft n'exige pas que le démarrage sécurisé soit systématiquement présent. Autrement dit, c'est aux constructeurs de prendre les mesures nécessaires afin de laisser le choix aux utilisateurs. "Nous travaillons avec notre écosystème OEM pour fournir cette flexibilité aux consommateurs" explique l'entreprise. Et d'ajouter que Microsoft ne contrôle par les réglages sur le firmware d'un PC sur d'autres O.S. que Windows.


Source : http://www.numerama.com




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Musique en ligne - Kazaa sur les traces de Napster

L'ex-service de partage de fichiers devient une plate-forme d'écoute de musique en streaming.

Musique en ligne - Kazaa sur les traces de Napster
Célèbre pour avoir été un repère de téléchargeurs illégaux dans les années 2000*, Kazaa a ouvert aux États-Unis un service de téléchargement légal. Traîné devant la justice américaine et sauvé in extremis en 2006 par un accord "amiable" impliquant le versement de 100 millions de dollars, le site a dès lors opéré un virage stratégique vers la légalité. Kazaa a donc franchi une nouvelle étape et espère bien concurrencer les géants mondiaux comme Spotify, ou Deezer en France.
Les utilisateurs de Kazaa peuvent, selon un modèle désormais répandu, payer un abonnement mensuel leur donnant un accès illimité au catalogue du site. Plus rien à voir, donc, avec le Kazaa d'antan ! Une application iPhone doit être lancée, et les versions Android et BlackBerry devraient suivre. Cette évolution rappelle celle de Napster, l'un des premiers logiciels peer-to-peer à avoir été massivement utilisé pour le téléchargement illégal : après des ennuis avec la justice, celui-ci s'était reconverti dans l'offre légale sans rencontrer un franc succès.
Le géant suédois Spotify avait été le premier à lancer un modèle pouvant être économiquement viable, en réduisant les capacités des comptes gratuits et en leur ajoutant des publicités. Les utilisateurs étaient massivement passés aux versions premium (illimitées et sans publicitié), et le site revendique aujourd'hui plus de deux millions d'abonnés payants. Deezer lui avait emboîté le pas, décapitant son modèle gratuit au grand désespoir de ses utilisateurs, dont certains sont allés voir ailleurs. Quoi qu'il en soit, vendre massivement de la musique en ligne est un exploit, sur un marché difficile où le produit est accessible en quelques clics via des services de partage de fichiers.
* L'ancien Kazaa n'était pas illégal en soi : l'éditeur ne faisait "que" mettre à disposition un logiciel de partage de fichiers, et les internautes restaient responsables des échanges de données qu'ils initiaient.


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vendredi 23 septembre 2011

Facebook renforce sa prédominance sur le Net

La Tribune Infographie/BHEDOUIN
La Tribune Infographie/BHEDOUINLa Tribune Infographie/BHEDOUIN
Le réseau social lance son service de musique, renforce sa position sur l'actualité et attaque Twitter sur son terrain. Son objectif : s'imposer comme un point de passage obligé sur la Toile.
La situation est paradoxale. Aux États-Unis et en Europe, le géant du Net Google fait face aux autorités de la concurrence, qui le soupçonnent d'abus de position dominante. Alors que le moteur de recherche fait l'objet de critiques récurrentes sur son caractère monopolistique, un autre géant est en train de prendre des positions au moins aussi fortes : Facebook. Le réseau social devient un point de passage incontournable sur la Toile. Ses 750 millions de membres passent par le réseau social pour nouer et entretenir des relations, mais aussi pour s'informer et se divertir. Une évolution qu'a bien compris son président Mark Zuckerberg, comme en témoignent les annonces faites lors du forum Développeurs jeudi. Facebook a ainsi donné le coup d'envoi à Facebook Music. Le service de musique, réalisé en partenariat avec 5 gros sites de « streaming », dont Spotify, Deezer, et l'Américain Rhapsody est d'abord lancé dans 6 pays, dont les États-Unis, la France et la Grande Bretagne. Pour Mark Zuckeberg, les internautes n'aiment rien tant que partager leurs goûts en matière de musique, de cinéma et de culture. De cette manière, Facebook compte en apprendre encore plus sur leurs goûts et couleurs et ainsi valoriser au mieux ses revenus publicitaires. En revanche, les sites de streaming conserveront l'intégralité des revenus issus des abonnements.
Ces partenariats sont une illustration du modèle poussé par Facebook qui consiste à proposer des services développés par des tiers. Selon une étude de Maryland University, cet écosystème a permis de créer entre 182.000 et 235.000 emplois, et d'injecter 15,7 milliards de dollars supplémentaires dans l'économie américaine. Cette politique constitue toutefois un danger pour Facebook : les internautes risquent de considérer que cette profusion d'applications est finalement trop intrusive. Preuve en est que l'effet réseau ne marche pas à tous les coups, Facebook a déjà connu des échecs, par exemple dans le commerce en ligne. Après seulement quatre mois, il a renoncé fin août à Facebook Deals, un service d'achats groupés, concurrent de Groupon.
Le réseau social va par ailleurs poursuivre le développement de sa plate-forme afin de faciliter son utilisation par les internautes. S'inspirant de son nouveau concurrent Google+, le réseau social de Google, Facebook propose désormais de trier ses contacts par catégorie (famille, amis, professionnels...). Surtout, Facebook a pris acte de l'importance croissance de l'actualité sur la Toile pour ses membres. Marchant sur les plates-bandes du site de minimessages Twitter, il donne aussi la possibilité de « s'abonner » (gratuitement) aux profils de « journalistes, artistes ou hommes politiques ». Comme sur Twitter, les membres peuvent désormais accéder aux messages publiés par un ensemble de leaders d'opinion, sans avoir besoin d'obtenir la permission d'accéder à leur profil, alors qu'il s'agit là d'une règle fondatrice sur Facebook. Attendue au deuxième semestre 2012, l'introduction en Bourse pourrait valoriser Facebook 75 milliards de dollars (le chiffre était monté jusqu'à 100 milliards !), selon les échanges sur le marché gris.


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Adobe permet de créer des jeux 3D avec Flash Player 11 et AIR 3

Adobe Systems Incorporated (Nasdaq: ADBE) présente Adobe® Flash® Player 11 et Adobe AIR® 3 pour le déploiement d'applications de nouvelle génération sur une multitude d'équipements et de plates-formes, dont Android, Apple iOS (via AIR), BlackBerry® Tablet OS, Mac OS, Windows®, les téléviseurs connectés à l’Internet et d’autres plates-formes. Faisant office de console de jeu pour le web, Flash Player 11 et AIR 3 permettent aux éditeurs de jeux de diffuser instantanément sur Internet des jeux 2D et 3D de qualité digne d’une console, accessibles depuis la quasi-totalité des PC et nombre d’autres équipements. De plus, les sociétés spécialisées dans le multimédia peuvent tirer parti de fonctionnalités inédites pour déployer facilement sur le web et via les applications mobiles des vidéos HD de qualité cinématographique, parfaitement protégées et bénéficiant d’un son Surround pour les téléviseurs connectés. Flash Player 11 et AIR 3 sont de véritables plates-formes de divertissement, compatibles avec de nombreux terminaux.

Les développeurs peuvent tirer parti d'une dizaine d’innovations de Flash Player 11 et AIR 3 pour créer des jeux et des expériences vidéo de nouvelle génération, ainsi que des applications de gestion de données, avec intégration aux systèmes back-end sur tous les équipements, dont l'iPhone et l’iPad via AIR. Grâce aux extensions natives AIR, ils ont en outre accès à des fonctionnalités du terminal et des bibliothèques de code natif uniques en leur genre, et sont libres de choisir la combinaison code natif/Flash/HTML5 qui leur convient pour offrir des expériences utilisateur hors pair sur les ordinateurs et les terminaux. Flash Player 11 et AIR 3 seront disponibles au début du mois d'octobre. Flash Builder® et Flex, le framework Open Source d'Adobe destiné à la création d'applications pour les terminaux mobiles, le web et les postes de travail, prendront en charge les nouvelles fonctionnalités dans une prochaine version publiée avant la fin de l'année.

« Avec cette version majeure, Adobe multiplie les possibilités offertes sur le web et ouvre de nouveaux horizons pour des jeux à la fois performants et captivants », déclare Danny Winokur, vice president et general manager, Platform, chez Adobe. « Si Flash n'a pas son pareil pour assurer la diffusion de jeux, de vidéos de qualité et autres applications de gestion de données sophistiquées, les outils HTML5 comme Adobe Edge et Dreamweaver® conviennent parfaitement à la création de pages web interactives, de publicités élaborées, de microsites personnalisés et d'applications généralistes pour les terminaux mobiles. »

Flash Player 11 et AIR 3 offrent des dizaines de nouveautés, parmi lesquelles :

· Une accélération du rendu des graphismes 2D/3D : grâce à l'accélération matérielle, le rendu des images 2D et 3D est 1.000 fois plus rapide que dans Flash Player 10 et AIR 2. Les développeurs peuvent animer des millions d'objets à une cadence de 60 images par seconde et proposer des jeux de qualité digne d’une console sur Mac OS, Windows et les téléviseurs connectés à l’Internet. Une version préliminaire permet de bénéficier des mêmes performances sur les plates-formes mobiles, dont Android, Apple iOS et BlackBerry Tablet OS. La version finale devrait être disponible prochainement. Pour découvrir des exemples de jeux 3D pour Flash Player, consultez la page www.adobe.com/go/gaming.

· Des extensions natives AIR : avec la prise en charge de bibliothèques Open Source hautement optimisées, les développeurs peuvent tirer parti de fonctions logicielles et matérielles exclusives : accès aux données des terminaux, contrôle de la vibration, magnétomètres, capteurs de lumière, double affichage, NFC, etc. Les extensions natives permettent aussi d’intégrer plus étroitement les applications AIR avec d’autres logiciels d’entreprise.

· Un moteur d'exécution captif : les développeurs peuvent automatiquement intégrer AIR 3 à leurs applications pour simplifier le processus d'installation sous Apple iOS mais aussi sous Android, Windows et Mac OS. Plus besoin donc pour les utilisateurs de télécharger et mettre AIR à niveau séparément sur l’une de ces plates-formes, ou sur BlackBerry Tablet OS, qui intègre déjà AIR. Par ailleurs, avec l’option de runtime embarqué, les développeurs peuvent gérer les différentes versions de leur application, indépendamment des mises à niveau de AIR par Adobe.

· Une protection du contenu : le contenu vidéo peut désormais être protégé à l’aide d’Adobe Flash Access® 3 sur toutes les plates-formes prises en charge, y compris celles de type mobile.

· Une diffusion multi plate-forme de vidéos HD : les vidéos HD pleine cadence peuvent désormais être visionnées dans des applications AIR sur les terminaux Apple iOS gérant le décodage matériel H.264. Les applications pour téléviseurs permettent, quant à elles, de lire des vidéos HD avec son Surround 7.1.

· Une gestion des abonnements et des locations : grâce à la prise en charge d’Adobe Flash Access et Adobe Pass, les éditeurs de contenu peuvent tirer parti de formules d'abonnement et de location offrant des business model flexibles.

· Une meilleure compatibilité : prise en charge du mode 64 bits sous Linux, Mac OS et Windows pour un résultat impeccable avec les tout derniers navigateurs 64 bits.

« Zynga a pour mission de connecter le monde par les jeux et de permettre à chacun de jouer partout et tout le temps », explique Cadir Lee, Chief Technology Officer chez Zynga. « Pour y parvenir, nous proposer des divertissements à destination du grand public sur l’ensemble des terminaux, plates-formes et applications, via Flash ou HTML5. Nous attendons avec impatience le lancement d'Adobe Flash Player 11 et Adobe AIR 3, nouvelle génération d'applications qui vont nous aider à diffuser les jeux Zynga dans le monde entier ».

Flash Player est actuellement installé sur plus de 98 % des ordinateurs connectés à l’Internet et, selon les prévisions d'Adobe, les applications Flash déployées via Adobe AIR devraient être prises en charge par plus de 200 millions de smartphones et tablettes, dont les appareils Apple iOS, d'ici la fin 2011. Un milliard de terminaux devraient être compatibles avec Adobe AIR d'ici la fin 2015.

Adobe AIR, un élément clé de Flash Player, permet aux développeurs de tirer parti du code existant pour créer et déployer des applications autonomes sur une multitude d’équipements et de plates-formes. Des milliers d'applications Flash sont d'ores et déjà disponibles sur Android Market, iTunes App Store, Samsung SmartTV Store et BlackBerry AppWorld™.




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YouTube transforme vos vidéos en 3D

Google continue d'enrichir en fonctions, YouTube, sa plateforme de partage et d'hébergement de vidéos avec un convertisseur 3D.

Google continue d'enrichir en fonctions, YouTube, sa plateforme de partage et d'hébergement de vidéos avec un convertisseur 3D.
Après les fonctions de retouche vidéo, Google propose désormais aux utilisateurs de YouTube de convertir leurs vidéos 2D en 3D. Il faut pour cela cliquer sur Edit Info, puis sur 3D Video, et le tour est joué. Difficile de faire plus simple.
Au passage, YouTube permet d'accéder à Vlix and Magisto, deux plateformes pour ajouter des effets et aller plus loin dans la retouche de ses images. C'est accessible depuis cette page.
En parallèle, YouTube a décidé d'enlever la limite de 15 minutes pour le plus grand nombre. A condition d'avoir un compte validé.





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