vendredi 28 mai 2010

Mehdi lamloum explique la notion de barcamp

Mehdi Lamloum: Interview sur Tunivisions.net from Mehdi Lamloum on Vimeo.

dimanche 23 mai 2010

Etudes et Emplois: Tunisia-school : l’éducation 2.0

Tunisia-school est un forum destiné principalement aux élèves de l'enseignement secondaire, mais aussi aux étudiants, avec quelques informations pratiques sur les différentes filières. On y retrouve des sujets traitant de presque toutes les matières : des mathématiques à la philosophie, en passant par la poésie.

Des exercices, des corrigés, des cours, des devoirs de synthèse (très pratique en cette semaine bloquée) et même un espace pour des publications personnelles (poèmes, textes, etc.). Une bonne initiative, derrière laquelle on retrouve des professeurs, qui essaient de mettre leur savoir faire pédagogique au profit des élèves.

L’idée de Tunisia-school est très intéressante. En fait, l’évolution technologique a entraîné une évolution de la société, et demander aujourd’hui, à un jeune de 15 ans de laisser tranquillement son PC et aller faire ses devoirs ou lire un livre relève du parcours du combattant. Alors, tant qu’à faire, on s’installe confortablement dans cet ordinateur!

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Tourisme: pour une révision des techniques de commercialisation

GAMMARTH, 21 mai 2010 (TAP) - Les représentants de l'Office National du Tourisme Tunisien (ONTT) à l'étranger ont relevé, vendredi, que la préservation de la part de la Tunisie des marchés traditionnels et la conquête de nouveaux marchés requièrent la révision des modes de commercialisation et des circuits de distribution habituels.

Ils ont noté, à la clôture, de leur 38ème séminaire annuel tenu du 19 au 21 mai 2010, que la réalisation de cet objectif passe nécessairement par la révision des contrats de promotion conclus avec les grands tours-opérateurs appelant au besoin d'assigner à ces arrangements des objectifs clairs à réaliser dans des délais bien déterminés (2 ou 3 ans) et à garantir le suivi de leur mise en œuvre.

Ils ont appelé à mettre en place une stratégie de communication appropriée ciblant les régions et les produits à haute valeur ajoutée. Il s'agit de valoriser, entre autres, les sites archéologiques et naturels et d'en faire de nouveaux produits propres à diversifier le secteur touristique et à lutter contre sa saisonnalité. Au nombre de ces produits figurent le tourisme culturel, le tourisme de congrès, l'écotourisme.

Les participants au séminaire ont également souligné la nécessité de s'adapter aux nouvelles exigences du transport aérien "law cost" en prévision de l'ouverture du ciel tunisien "open sky", recommandant de créer un site web chargé de la commercialisation de la destination Tunisie.

Ils ont recommandé d'adapter les modes d'hébergement et programmes d'animation aux nouvelles tendances de la clientèle. Ils ont suggéré de conquérir les marchés porteurs tel que le marché russe et de réaliser des études approfondies sur les perspectives des marchés libyens et algériens.

M. Slim Tlatli, ministre du Tourisme, a affirmé, à la clôture du séminaire, que les orientations de la prochaine étape seront axées autour de trois axes: la révision des missions des représentants de l'ONTT à l'étranger, le réexamen de leur répartition géographique et la révision de leurs politiques de marketing.

Il a précisé que la réflexion porte à cet égard sur la possibilité de créer des représentations itinérantes, notamment, aux niveaux des marchés à faible potentiel. Le but est de réduire les coûts et de grouper certaines représentations en une seule pour certains marchés.
Il s'agit, en outre, de revoir la contribution des professionnels aux manifestations touristiques organisées en Tunisie et à l'étranger, d'améliorer les méthodes de commercialisation en vigueur et de les réviser, notamment, pour les marchés traditionnels dont celui de l'Allemagne qui demeure un marché porteur.

M. Tlatli a ajouté que dans le cadre de l'étude stratégique sur le tourisme à l'horizon de 2016, un groupe de travail a été chargé de la réflexion sur le développement des budgets consacrés à la promotion à travers la réalisation d'études comparatives avec les destinations concurrentes telles que la Turquie et l'Egypte.

Il a appelé à réfléchir sur les moyens d'associer d'autres bénéficiaires de l'activité touristique (agences de location de voiture, restaurateurs, banques ...) au financement de la promotion.

Le ministre a souligné l'importance de la coordination des efforts entre les différents intervenants dans le secteur (administration, professionnels, compagnies aériennes...), affirmant que la complémentarité, pour peu qu'elle fasse l'objet de stratégies claires, est de nature à faciliter la conquête des marchés ciblés et la commercialisation de la destination Tunisie.

Le ministre a exhorté les professionnels à exploiter au mieux la tendance générée par la crise financière internationale qui sévit encore en Europe. "Cette même tendance qui, a-t-il dit, érige, en cette période de crise, la Tunisie en destination attractive pour les touristes européens, particulièrement, pour les touristes belges".


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Bientôt des laptops pour chaque élève et éducateur

TUNIS, 22 mai 2010 (TAP) - Un notebook (ordinateur de la taille d'une feuille de format A4) pour chaque élève et éducateur : tel est l'objectif du projet « Une solution pédagogique numérique pour tous », présenté vendredi lors d'une table ronde à Tunis.

Outre la généralisation de l'ordinateur portable dans les collèges et lycées, ce projet, encore au stade de la réflexion, vise à accélérer l'intégration des technologies de l'information et de la communication (TIC) dans le système éducatif, promouvoir le contenu numérique pédagogique et accroître l'accès des établissements scolaires à l'Internet haut débit.

Baptisé aussi « Initiative Ibn Khaldoun », ce projet aura un impact positif sur le développement de l'économie immatérielle en Tunisie, à travers la création d'un espace EducaTechPark mettant en synergie les divers intervenants, notamment l'éducation, la formation, les industriels, les développeurs de contenu, les fournisseurs de services et les start-up.

Lors de cette rencontre, M.Hatem Ben Salem, ministre de l'éducation a souligné que ce projet porteur intervient en concrétisation de l'objectif du Programme présidentiel relatif à l'édification de la société de l'information.

«Ce projet devrait contribuer à l'évolution qualitative pérenne de l'éducation », a-t-il ajouté, indiquant que la « solution pédagogique numérique pour tous » impliquera le renforcement de l'infrastructure et favorisera l'épanouissement des compétences par le biais de centres d'excellence collaboratifs. L'industrie et la recherche suivront.

Aussi, la Tunisie sera-t-elle appelée à partager son expérience avec les pays d'Afrique du nord, du Moyen-Orient et d'Afrique subsaharienne.

De son côté, M.Mohamed Naceur Ammar, ministre des technologies de la communication, a indiqué que le projet en question était en harmonie avec la stratégie tunisienne dans le domaine des télécommunications.

Il s'agit de faire de la Tunisie une destination numérique d'ici 2014, de développer l'infrastructure et de démocratiser l'accès à l'Internet.

Il existe, actuellement, 400 mille abonnés à l'ADSL. L'objectif est d'atteindre un million d'abonnés supplémentaires à l'horizon 2014. Le secteur de l'éducation doit y contribuer en généralisant la connexion à l'internet.

La baisse des tarifs devra, également, favoriser l'accès à Internet, a indiqué le ministre, ajoutant que la Tunisie est bien classée à l'échelle mondiale en termes de tarifs.

La contribution de la Banque tunisienne de solidarité (BTS) au financement du PC familial a été évoquée à cette occasion.

Depuis le lancement de cette expérience en 2001, quelque 75 mille PC ont été financés par la BTS, dont 17 mille destinés aux professeurs et instituteurs. Cette initiative est appelée à se développer en proposant un package (PC portable, logiciels, ligne ADSL), avec l'appui des fournisseurs de service qui gagneraient, en retour, de nouveaux abonnés.

De leur coté, les représentants de la Banque Mondiale, de la Banque africaine de développement, de multinationales informatiques, d'opérateurs de télécommunications et du patronat ont exprimé leur volonté de contribuer à la réussite du projet « Une solution pédagogique numérique pour tous ».

Ils ont fait valoir le gain économique direct pouvant découler de l'intégration des TIC dans le système éducatif. Selon la Banque Mondiale, l'augmentation de 10 pc de l'indice de pénétration du haut débit génère une croissance économique de 1,3 pc.

Les intervenants ont, également, évoqué la contribution des TIC à la promotion de l'esprit d'entreprise, à l'impulsion des exportations et à la création d'une valeur ajoutée.

L'expérience portugaise en matière de généralisation des PC portables à l'école a été présentée à cette occasion.

Mme Lamia Chaffai Sghaier, secrétaire d'Etat chargée de l'informatique, de l'Internet et des logiciels libres, participait à la table ronde.


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Les TIC au service des villes de demain

TUNIS, 22 mai 2010 (TAP) - Une conférence internationale sur le thème "une ville meilleure et une vie meilleure avec les TIC" a été organisée, samedi, à Tunis, par l'Organisation arabe des TIC (AICTO), l'Organisation des villes arabes (ATO) et la municipalité de Tunis.

Cette manifestation à laquelle ont pris part des experts et représentants du secteur privé, a permis de débattre de plusieurs thèmes portant sur "les applications des TIC et les prestations municipales", "Les TIC au service du développement durable" et "l'adaptation des TIC aux spécificités des villes arabes".

Ouvrant la conférence, M. Mohamed Naceur Ammar, ministre des Technologies de la communication, a indiqué que la démarche adoptée par la Tunisie en matière d'édification de la société d'information tient compte des spécificités culturelles et civilisationelles du pays.

Cette démarche, a-t-il ajouté, a permis à la Tunisie d'être classée première en Afrique et 39e dans le monde sur un total de 133 pays, par le forum économique de Davos sur les TIC pour la période (2009-2010).

Le ministre a indiqué que le thème de cette manifestation s'intéresse à l'édification des villes de savoir, notamment en cette période, marquée par l'émergence d'une nouvelle génération de défis liés à la révolution numérique et à l'intégration technologique.

Il a fait savoir que la Tunisie a franchi de grands pas sur la voie de la modernisation de l'infrastructure de communication, d'amélioration de la qualité des prestations de services administratifs et de développement des méthodes de travail municipales.

Il a souligné l'intérêt qu'il y a à développer de nouvelles applications technologiques et à promouvoir de nouvelles prestations municipales, à l'instar des centres d'appel, des sites web interactifs et de la fiscalité municipale en ligne.

Pour sa part, Mme Khadija Ghariani, secrétaire générale de l'AICTO, a mis l'accent sur la contribution des TIC à la promotion des villes arabes de demain, à travers notamment, l'adoption de nouvelles méthodes de travail en matière de planification et d'urbanisme et d'édification de villes intelligentes à forte composante technologique. Le but étant de réaliser les objectifs de développement durable et de stimuler l'investissement.

Elle a évoqué l'expertise tunisienne en matière d'adaptation des TIC aux spécificités des villes, passant en revue les réalisations accomplies jusqu'ici, dans ce domaine. Au nombre de ces résultats, elle a cité le raccordement de 600 villes tunisiennes au réseau Internet haut débit et de 50 centres économiques du pays au réseau international de fibres optiques.

Intervenant M. Ghassen Samma, responsable de la coopération internationale et de la communication à l'ATO, a évoqué les résultats atteints par les villes arabes en matière de réalisation des objectifs de développement durable, relevant que Tunis et les villes tunisiennes en général s'emploient à l'heure actuelle, à consacrer cette démarche.

Pour sa part, M. Mohamed Béji Ben Mami, maire de Tunis, a passé en revue les réalisations accomplies par la capitale Tunisienne en matière d'ancrage de la culture numérique et d'édification de la société de savoir.

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samedi 22 mai 2010

tunisia maths

Voici un site pour les éleves de lycée .

ils contient des cours , des exercices , des devoirs ...

il est vraiment un projet éducatif très riche et qui aide nos élevés a développer leur niveau dans

les matières scientifiques.

Alors amusez vous avec ce site :



http://www.tunisiamaths.com/

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Site éducatif tunisien


Aujourd'hui je vous présente un site tunisien que je le trouve très utiles pour nos enfants .

ils contient des cours bien structurés, des devoirs par matière , des TP et des présentations PPT ils est crée par un prof d'informatique Mr : Boutiti Mehdi.


alors je vous conseil de visiter ce site :

Twitter c'est facebook avec seulement les status

Vcast #57: Twitter, c'est Facebook avec seulement les status from Mehdi Lamloum on Vimeo.

ORANGE TUNISIE

Vcast #60: Orange Tunisie, ITW Julien Lafrance from Mehdi Lamloum on Vimeo.

Twitter victime d'une nouvelle panne

Le service de micro-blogging a remis, pendant quelques heures lundi, les compteurs de ses abonnés à zéro afin d'enrayer un bug qui permettait à n'importe quel membre de forcer un autre abonné à suivre ses commentaires.

Vent de panique lundi pour tous les utilisateurs de Twitter. Le site de micro-blogging a été touché par une panne qui, pendant quelques heures, a conduit à remettre automatiquement à zéro tous les comptes d'abonnés, sans toutefois interrompre l'affichage de messages. «Vos comptes d'abonnements/abonnés reviendront sous peu à la normale», promettait le site à ses abonnés vers 19h15. «Nous avons identifié et remédié à un problème qui permettait à un utilisateur de ‘forcer' d'autres internautes à suivre ses actualités», expliquait-il encore. «Nous travaillons maintenant à supprimer les abus commis» grâce à cette faille. Dès 20h environ, le site revenait à la normale.

Un peu plus tôt dans la journée, le site américain d'information spécialisé dans les technologies Gizmodo avait publié un article intitulé: «comment forcer tout le monde à suivre vos actualités sur Twitter». Avec cette promesse alléchante : «Suivez ces instructions toutes simples pour forcer tout utilisateur de Twitter - de (l'animatrice de télévision) Oprah (Winfrey) à (l'acteur Ashton) Kutcher à vous suivre, vous. Non, vraiment», indiquait Gizmodo.

Une faille découverte par hasard

Gizmodo, qui a défrayé la chronique le mois dernier en mettant la main sur un prototype d'une future version de l'iPhone, a raconté comment il avait eu vent de cette faille de Twitter. «Ce problème a été découvert par accident, par un utilisateur turc de Twitter», a expliqué Gizmodo dans un article. «Le premier message qu'il nous a envoyé avait franchement l'air ridicule : un type turc, s'appelant Bora Kirca, s'est rendu compte accidentellement que si vous écrivez un message «accept username», par exemple billgates, alors Bill Gates suivra vos tweets. C'est tout bête, mais c'est vrai».

Gizmodo a souligné que grâce à cette faille, «pendant plusieurs heures, des milliers de gens ont pu contrôler les comptes Twitter d'autres gens, tellement facilement que même le plus novice des utilisateurs pouvait le faire». «Twitter va nettoyer cela, et ils vont nettoyer nos listes d'abonnés», a souligné Gizmodo. «Mais la crainte persistera, et c'est normal. Et si c'était un petit peu plus grave que cela ? Et si une commande permettait d'accéder aux comptes Twitter des autres, au-delà de leur liste d'abonnés ? Ce qui nous est arrivé a été un dérangement, cela pourrait être une catastrophe».

Le mois dernier Twitter a revendiqué plus de 105 millions d'utilisateurs inscrits et affirmé qu'il ouvrait 300.000 nouveaux comptes par jour.

Source : http://www.lefigaro.fr/web/

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Steve Jobs s'en prend personnellement au Flash

Dans une lettre ouverte, le PDG d'Apple énumère les raisons pour lesquelles les animations et vidéos au format Flash, pourtant très répandues sur Internet, n'ont pas droit de cité sur l'iPhone et l'iPad.

Le différend entre Apple et Adobe au sujet du format Flash s'invite au plus haut niveau. Dans une longue lettre ouverte publiée jeudi, le PDG d'Apple, Steve Jobs, a détaillé les raisons qui l'ont conduit à interdire les animations et les vidéos en Flash sur l'iPhone, l'iPod touch et l'iPad. Alors que des représentants d'Adobe ont manifesté à plusieurs reprises leur incompréhension et critiqué les barrières hérissées par Apple autour de ses produits, Steve Jobs affirme que cette décision a été prise uniquement sur des critères techniques, et non commerciaux.

Le co-fondateur d'Apple fournit ainsi pas moins de six motivations à ce refus. Largement utilisé sur Internet, Flash reste un plugin «100% propriétaire» qu'Apple ne peut pas améliorer. Or, il serait lent et peu sécurisé. Il réduirait l'autonomie des appareils nomades et ne tirerait pas partie des gestes tactiles. Il ne serait pas, non plus, si indispensable pour profiter d'Internet, puisque les vidéos de YouTube et d'autres sites ont déjà été converties dans un format lisible par les appareils d'Apple, le H.264. Enfin, la création d'applications et de jeux en Flash, conçus pour fonctionner sur plusieurs plateformes, n'exploiterait pas au mieux les spécificités de l'iPhone.

«Flash a été créé durant l'ère des PC pour les PC et les souris», résume donc Steve Jobs, qui recommande à Adobe de se concentrer davantage sur le futur «au lieu de critiquer Apple pour avoir tiré un trait sur le passé». L'avenir, explique-t-il, serait aux formats ouverts sur Internet, et notamment au HTML5. Au grand dam d'Adobe, ces nouveaux outils permettent d'inclure des vidéos sur les pages Internet sans avoir besoin d'installer le plugin Flash sur son ordinateur ou son mobile. Déjà, des médias américains ont modifié leur site pour inclure de la vidéo en HTML 5, rappelle encore Steve Jobs.

Une communication de crise

Malgré tout, l'absence de Flash dans la navigation Internet figure toujours parmi les défauts les plus souvent associés à l'iPad et à l'iPhone. Elle vaut aussi à Apple des critiques répétées sur Internet. Courant avril, un salarié d'Adobe a publiquement recommandé à Apple d'«aller se faire voir». Ses concurrents en profitent aussi. En début de semaine, le responsable du développement d'Android, Andy Rubin, a comparé les restrictions d'Apple à la politique de la Corée du Nord et annoncé que les futurs téléphones Google intégreront Flash. Dans la Silicon Valley, des rumeurs suggèrent que l'affaire pourrait être portée devant la justice.

La lettre ouverte publiée jeudi montre que ces péripéties sont prises très au sérieux chez Apple. Steve Jobs avait déjà eu recours au même procédé pour sortir Apple d'autres situations de crise. Il avait répondu à Greenpeace, qui accusait les Mac d'être trop peu écologiques, s'était prononcé sur la fin des verrous sur les morceaux de musique (DRM) et avait annoncé sa maladie et son retrait temporaire. Dans cette bataille aussi technique que médiatique, Steve Jobs a toutefois évité de s'appuyer sur un allié inattendu, Microsoft, dont le nouveau système d'exploitation mobile, Windows Phone 7, ne sera pas compatible avec Flash.

Source : http://www.lefigaro.fr

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Twitter cède à l'appel de la publicité

Des messages promotionnels seront bientôt affichés dans les résultats de recherche et insérés entre les «tweets» des utilisateurs, sur le site de microblogging.

Le modèle économique de Twitter prend forme. Sous peu, des messages publicitaires apparaîtront dans le moteur de recherche du site de microblogging, a annoncé mardi son co-fondateur, Biz Stone. Selon un système déjà éprouvé par Google, les annonceurs choisiront les mots-clés auxquelles ils veulent être associés. La chaîne de restauration Starbucks pourra par exemple afficher ses publicités aux membres de Twitter qui cherchent des messages sur le café. Best Buy, Red Bull, Sony Pictures et Virgin America figureront parmi les premiers clients.

Constamment relancé sur ce sujet depuis que son audience a décollé (22,3 millions de visiteurs en mars selon comScore), Twitter a mis un an avant de consentir à ajouter de la publicité sur son site. A l'abri du besoin grâce à une récente levée de fonds de 100 millions de dollars, il a commencé à engranger des revenus cet automne en vendant à Google et à Microsoft un accès privilégié à ses messages, estimés en décembre à 25 millions de dollars. A plusieurs reprises, ses dirigeants ont promis l'arrivée de fonctions payantes, réservées aux utilisateurs avancés, et affirmé qu'ils travaillaient sur une intégration originale de la publicité.

Dans ce cadre, l'annonce du jour n'est qu'une première étape, à valeur de test. Twitter va d'abord observer le degré d'interaction de ses membres avec les nouvelles annonces. Cette «résonance» sera calculée en fonction du nombre de clics sur les liens inclus dans les publicités et de leurs citations («retweets») par les autres internautes. Les messages qui fonctionnent le moins bien seront retirés, sans être facturés. Twitter réfléchit à de nouveaux modes de paiement, qui restent encore à définir. Pour l'heure, les messages seront vendus selon le nombre d'impressions.

Influencer les conversations

L'autre évolution viendra de l'intégration des messages directement dans le flux des «tweets», et plus seulement dans les résultats de recherche, et ce même si les internautes ne suivent pas les annonceurs. Mieux en évidence, ces publicités se comporteront comme n'importe quel autre message et seront affichées selon leur date de publication. Elles figureront à la fois sur les sites Internet et dans les logiciels tiers. Pour préparer cette intégration, Twitter a annoncé l'acquisition la semaine dernière de Tweetie, une application populaire pour «tweeter» depuis un iPhone.

Selon Twitter, ces publicités devront être originales et créatives pour émerger dans le flux de messages. Elles pourront par exemple signaler des promotions, comme le pratique Dell, qui a généré 3 millions de dollars de ventes sur le site depuis 2007 avec son compte Delloutlet. Alors que les entreprises disposent déjà d'outils pour suivre l'accueil réservé à leurs produits sur les réseaux sociaux, les publicités permettront aussi d'influer sur les conversations. Un studio de cinéma pourra ainsi insérer de la publicité entre des mauvaises critiques de ses films.

Source : http://www.lefigaro.fr

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Internet : les mystères du «nuage numérique

Répartis sur la planète, 45 millions de centres de traitement de données stockent, sans grand contrôle, courriels, photos et documents des particuliers et des entreprises du monde entier.

«Mon fils ne voit pas pourquoi apprendre par cœur ce qu'il peut retrouver à chaque instant en tapotant sur Internet», raconte Sonia, 40 ans, éberluée de voir cette nouvelle génération déléguer un bout de cerveau au «nuage numérique».

Le savoir n'est plus en soi, mais à portée de la curiosité, d'un clic. Tout comme les souvenirs qui s'envolent, tels des oiseaux migrateurs, vers le ciel d'Internet. Autrefois, on gardait vinyles, boîtes de jeux et petits poèmes. Désormais, la mémoire a quitté les foyers, les boîtes molletonnées, les malles. Courriels, photos, musique, documents, jusqu'aux conversations de messagerie instantanée sont conservés quelque part dans un lieu abstrait, une armoire virtuelle, dans ce que l'on appelle le «cloud» informatique. Invisibles. Oubliés parfois. Mais à portée de connexion. Il suffit de presser quelques touches d'ordinateur et l'armoire restitue ce que vous lui avez confié.

Bibliothèques numériques

C'est si simple, si efficace, qu'il n'est plus besoin de ranger, de trier, de jeter, que tous les messages se gardent et enflent dans ce ciel désormais gorgé de vies humaines. Des milliards d'êtres voient leur existence répliquée, comme en écho, dans le ciel numérique. Les réseaux sociaux, comme Facebook, sont autant d'écrans géants placés dans la galaxie. Facebook n'habite pas chez vous, dans votre ordinateur, mais bien là-haut. Lorsque Internet s'éteint, ces vaisseaux restent dans l'ombre, injoignables.

Et pourtant, ces données existent… quelque part sur terre. Le «nuage» n'est qu'une image. Les informations sont rangées dans des hangars, des «fermes de données numériques» comme on nomme les gigantesques «data centers» qui se multiplient pour accueillir, sur des systèmes informatiques de stockage chaque jour plus compressés, les babillements de la planète.

Lancé par le webmail, le «cloud computing» s'étend. On compte déjà 45 millions de «data centers». Les entreprises y envoient leur base de données, leur comptabilité, plutôt que d'encombrer un étage de gros ordinateurs qui ronronnent, s'échauffent, tombent en panne… Elles délèguent à d'autres le soin de conserver leurs archives. «Désormais, on accumule toujours autant en interne, et on le double dans le “cloud”», explique Thomas Serval, de Microsoft. Les données envahissent les circuits, consomment de l'énergie, «mais on est loin de la saturation», assure Laurent Guiraud, directeur entreprise chez Google.

La firme américaine augmente sans cesse la taille des «armoires» qu'elle propose aux particuliers, pour y stocker des milliers d'e-mails gratuitement. «Nous ne les effacerons que si le client veut quitter Gmail. Sinon, le service reste disponible pour toujours» , affirme Laurent Guiraud, sans forcément convaincre. L'avenir de ces bibliothèques numériques reste une interrogation. On ignore la résistance des supports numériques. Ceux utilisés à la maison, comme les disques durs, les clés USB, les DVD gravés sont voués à l'effacement… Si les circuits professionnels sont plus sûrs, la pérennité de ces modes de stockage basés sur la confiance plus que sur le contrat reste à prouver.

L'utilisateur, sans prendre le temps de lire les «conditions d'utilisation», ouvre un compte mail avec l'insouciance de la gratuité… Or ce service se paie… Autrement. Google parcourt votre courrier, pour vous envoyer de la publicité ciblée, qui apparaît sur le côté de l'écran, à côté du message. Une plainte sur des pieds endoloris et tous les chausseurs sont convoqués, tout comme les avocats lorsque certains s'épanchent sur leurs difficultés conjugales. Aux détracteurs qui s'offusquent de voir leur courrier lu, Google rappelle que les robots qui écartent les spams parcourent de la même manière les messages, sans que personne n'y trouve à redire. D'autres messageries, comme Hotmail, de Microsoft, ne lisent pas les courriers.

Fragments de vie

Mais la confidentialité de ces correspondances reste relative. Certains États semblent intercepter les courriers, comme en Chine. Tandis qu'aux États-Unis, le FBI peut y accéder sans passer par un juge au nom du Patriot Act. En Europe, les données sont mieux protégées. Officiellement, elles ne doivent pas quitter l'Union, sauf pour rejoindre un pays ayant l'agrément communautaire ou le Safe Harbour, qui réunit des entreprises américaines. Mais les géants du Net gèrent des dizaines de milliers de serveurs et transfèrent, comme bon leur semble, les données d'un «data center» à l'autre, pour équilibrer la charge. Les données voyagent, selon les fuseaux horaires, vers des destinations inconnues, des hangars de sous-traitants. «Le “cloud” crée de nouveaux risques», reconnaît Marc Mosé, le directeur juridique de Microsoft, mais «cela va devenir un enjeu pour les internautes. Ils vont exiger de savoir où et comment sont stockés» ces fragments de leur vie. Tout comme ils vont demander à pouvoir reprendre leurs photos, leurs films ou leur Facebook d'un clic. Car s'il est facile de s'installer dans le «cloud», le quitter tient de la gageure: il faut bien souvent télécharger document par document. Compter une moyenne de 70 heures pour retrouver vos photos de vacances…

Source : http://www.lefigaro.fr

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Google cherche à s'incruster dans les télés

Google s'est associé à Intel et Sony pour connecter les télévisions à Internet, révèle le New York Times. Un créneau qui ne réussit pas souvent aux groupes informatiques.

Après les ordinateurs et les téléphones portables, Google s'intéresse de près à la télévision. Associé à Intel et à Sony, il prépare le lancement d'une nouvelle plate-forme, Google TV, pour prendre position dans les salons, a révélé jeudi le New York Times. Google TV sera intégré dans des décodeurs ou des téléviseurs et donnera accès à Internet, à des téléchargements de films et à de petites applications, comme sur les smartphones. La date de sortie reste inconnue, ni Google ni ses partenaires ne souhaitant pour l'instant s'exprimer sur le sujet.

L'objectif paraît pourtant clair. Selon un familier du projet cité par le quotidien, il s'agit de multiplier les méthodes de connexion à Internet, pour y placer les publicités dont Google tire la quasi-totalité de ses revenus. Malgré la concurrence de l'ordinateur et du téléphone, les téléspectateurs passent en moyenne 3h12 par jour devant leur écran, un chiffre en constante hausse, selon une étude d'Eurodata TV Worldwide publiée jeudi. Les Etats-Unis détiennent le record, avec une consommation moyenne de 4h40 par jour, contre 3h24 en France. Du temps qui pourrait être passé sur les services de Google, si les télévisions devenaient connectées.

Le défi est de taille. Les groupes informatiques qui se sont lancés sur ce créneau ont connu des fortunes diverses. Depuis sa présentation en 2007, Apple a toujours considéré son boîtier Apple TV comme un «hobby», selon le mot de Steve Jobs, et n'a jamais donné ses chiffres de vente. Microsoft, qui fournit un système pour les décodeurs, Mediaroom, n'a les faveurs d'aucun fournisseur d'accès de premier plan en France. Face aux «box» des opérateurs, seuls les appareils faisant office d'enregistreur (TiVo) ou de consoles de jeu (Xbox 360, PlayStation 3) se sont réellement distingués.

Une plate-forme ouverte

Pour se démarquer, Google TV sera basé sur le système d'exploitation Android qui équipe déjà les téléphones portables, a précisé le New York Times. Ces appareils seront animés par un processeur Atom d'Intel et la navigation passera par Google Chrome. On y regardera des vidéos sur YouTube, ainsi que des films et des séries sur Hulu, tandis que l'on évoluera entre les applications et les jeux aussi facilement que l'on change de chaînes. Pour entrer facilement les adresses des sites, Logitech aurait été chargé de fournir des télécommandes équipées d'un petit clavier.

Mais le meilleur argument de Google TV devrait être son ouverture. Si Sony espère être un des premiers à en bénéficier, peut-être sous une nouvelle marque, chaque fabricant électronique pourra choisir de l'intégrer dans ses décodeurs, ses téléviseurs ou ses lecteurs Blu-ray, et l'adapter selon ses souhaits. Cette stratégie a déjà permis à Google de se faire en deux ans une place de choix dans la téléphonie mobile. Le groupe américain n'entend d'ailleurs pas s'arrêter aux téléviseurs, puisque son système doit équiper prochainement des tablettes tactiles et que des expérimentations ont été menées jusque dans les logiciels embarquées par les voitures.

Source : http://www.lefigaro.fr

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mercredi 19 mai 2010

BarCamp 2010


Définition du Barcamp sur Wikipedia http://fr.wikipedia.org/wiki/BarCamp

Un BarCamp est une rencontre d'un week-end, une non-conférence ouverte qui prend la forme d'ateliers-événements participatifs où le contenu est fourni par les participants qui doivent tous, à un titre ou à un autre, apporter quelque chose au Barcamp.

C'est le principe pas de spectateur, tous participants. L'événement met l'accent sur les toutes dernières innovations en matière d'applications Internet, delogiciels libres et de réseaux sociaux.

Le principe est “Pas de spectateurs, pas de touristes”.

Tout le monde participe d’une manière ou d’une autre:

  • en présentant un projet,
  • en diffusant de l’information sur le Barcamp (Blog, Photos, vidéos...),
  • en étant volontaire,
  • en parlant du Barcamp sur son blog, site, portail, media...

Le Barcamp est basé sur le principe du partage de connaissances, libre et sans contraintes.

La participation au Barcamp est évidemment gratuite.